Ma cousine et la chaleur du pays - Histoires de Sexe

Ma cousine et la chaleur du pays

... lorsque sa culotte se retrouve à hauteur de ses genoux afin que je puisse la lui retirer plus aisément. Je pars la déposer sur le tronc d’arbre où se trouve mon boxer pour qu’elle puisse sécher en plein soleil. Je rejoins ensuite ma cousine et je m’allonge sur le ventre tout contre elle. Nos têtes sont tournées l’une vers l’autre, nous nous sourions avant qu’elle ne ferme les yeux.

Les minutes passent. Nous baignons dans le bonheur de nous retrouver là, tranquillement allongés l’un près de l’autre, au milieu de la nature, seuls, rien qu’elle et moi et en parfaite harmonie avec Dame nature.

J’observe ma cousine avec la plus grande attention. Qu’elle est belle lorsqu’elle semble dormir comme maintenant ! Au bout de quelques minutes je me mets à lui caresser doucement la joue en la frôlant du revers de mes doigts. Elle sourit, toujours en gardant les yeux fermés. J’insiste et, toujours plein de tendresse dans mes gestes, j’étends mes caresses au reste de son visage. Elle semble ronronner de bonheur tel un chaton sous les caresses de ses maîtres. Mes caresses se font plus insistantes et pour avoir un plus grand espace pour étendre mes caresses je me tourne de côté appuyé sur mon avant-bras.

Ma main passe maintenant sur sa nuque ...

... puis sur ses épaules et sur le haut de son dos. Mes caresses se font douces. Ma cousine semble apprécier chaque seconde, chaque caresse que je lui prodigue. Je la trouve belle. Son corps, sa nudité s’offrant aux rayons du soleil la rend des plus désirables. J’ai envie de la couvrir de bisous tellement mon amour de cousin est intense pour elle.

Je lui dépose en effet un baiser bien bruyant sur sa joue, ce qui a pour effet de la faire sourire et de lui faire ouvrir les yeux. Ma main continue de se promener dans son dos. Je lui dépose un autre baiser suivi presque immédiatement d’une rafale de petits bisous très tendres partout sur son visage. Elle rigole puis elle se tourne vers moi, et m’invite à venir l’étreindre. Nos corps s’enlacent, s’entremêlent, nous nous retrouvons fusionnés l’un à l’autre, à nous dire des petits mots doux pleins d’amour, seulement entrecoupés de petits bisous signes de notre amour réciproque.

Petit à petit notre ferveur laisse place au repos, au sommeil, et nous nous endormons serrés l’un contre l’autre, nos corps nus s’offrant au soleil encore brûlant de cette fin d’après-midi. Rien ne trouble notre bonheur du moment, et nous atteignons des zéniths, des zéniths de bonheur, d’amour et de bien-être…

A suivre.