1. Ma cousine et la chaleur du pays


    Datte: 04/07/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Inceste / Tabou grosseins, vacances, plage, bain, forêt, campagne, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, Auteur: Bisounours, Source: Revebebe

    ... l’écluse sur laquelle nous nous trouvons et qui se jette partiellement dans le canal. Le restant du débit part à notre droite où la rivière continue son chemin dans une large plaine. Face à nous, à environ 200 mètres et au-dessus de la rivière, un pont de chemin de fer désaffecté d’époque Eiffel permet de franchir cette rivière. À gauche des vignes s’étalent à perte de vue.
    
    Fascinée par ce magnifique paysage ma cousine ne peut s’empêcher de prendre de nombreux clichés avec son appareil photo. Le vent souffle assez fort à cet endroit puisque celui-ci s’engouffre le long de la rivière et ce jusqu’à la mer méditerranée située à une quinzaine de kilomètres de là. L’enthousiasme de ma cousine fait vraiment plaisir à voir. À coup sûr elle gardera un bon souvenir de son après-midi avec son cousin, mais elle est encore loin d’avoir tout vu et je décide de l’emmener un peu plus loin pour lui faire faire de nouvelles découvertes.
    
    Nous montons alors sur le pont de chemin de fer afin de traverser, puisque la majeure partie des merveilles restant à découvrir se trouve de l’autre côté de cette rivière. L’architecture du pont est magnifique, d’époque Eiffel il est entièrement métallique, quelque peu rouillé mais encore très joli. Une nouvelle séance photos sur ce pont s’impose pour ma cousine toujours aussi émerveillée par ces paysages qu’elle découvre.
    
    Nous redescendons de l’autre côté de ce pont en bordure d’un champ. Plus loin nous nous retrouvons encore au bord d’un nouveau ...
    ... canal. Ma cousine ne comprend pas ce coup de Trafalgar. En réalité ce canal est dans la continuité de celui que nous avons longé au début de notre promenade et en fait il emprunte une partie de la rivière qu’il traverse de gauche à droite dans un croisement en X. À peine plus haut sur le canal se trouve une autre très belle écluse qui, ici, est doublée et accompagnée sur le côté d’une cale sèche faite pour y entretenir des bateaux. Cela nous vaut une nouvelle longue séance de photos de la part de ma cousine.
    
    Avec cette longue promenade et toutes ces photos prises nous ne voyons pas réellement l’heure avancer et l’église du village d’à côté sonne les 16 heures. Bien que ma cousine soit venue me voir très tôt dans l’après-midi, il est déjà bientôt l’heure pour elle de rentrer chez la famille de son copain, ce qui lui revient à l’esprit soudainement.
    
    — Ah zut ! Ca va être l’heure que je rentre…, me dit-elle toute triste en s’asseyant la tête baissée sur le muret de l’écluse.
    — J’ai pas vu le temps passer, lui répondis-je. J’ai encore tellement de choses à te montrer et je suis si content de te voir que j’aimerais bien prolonger ce moment plus longtemps. Ah c’est vraiment bête…
    — Ouais déjà qu’on se voit jamais…, me dit-elle toujours aussi tristement.
    
    Un long silence s’installe alors. Assis en plein soleil sous une température caniculaire nous commençons à vraiment avoir chaud. C’est alors que ma cousine se propose pour trouver une solution.
    
    — Dis cousin, tu as de la ...
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