Ma cousine et la chaleur du pays - Histoires de Sexe

Ma cousine et la chaleur du pays

Résumé de l’épisode 1

Après plusieurs mois passés sans voir ma cousine celle-ci me rend visite chez moi dans une ville du sud de la France à l’occasion de ses vacances avec son copain.

Elle était très enthousiaste à l’idée de me revoir et son côté enfant ressortait toujours autant que je le connaissais, bien que ma cousine approche désormais la vingtaine d’années.

Après une visite de la ville je l’ai emmenée découvrir mon appartement.

Assis tous les deux sur mon lit, ma jeune cousine m’interrogea alors sur ma sexualité qui se révélait très pauvre depuis quelques temps.

Voyant la grande timidité qui m’habitait, elle a décidé de prendre les choses en main en me dévoilant sa très belle et imposante poitrine, ce qui provoqua chez moi une réaction bien masculine.

Elle s’était alors proposé de me donner un « coup de main » en venant me masturber jusqu’à m’offrir un très bel orgasme. Notre relation devenait alors incestueuse….

Après cela je décide d’emmener ma cousine visiter quelques jolis coins que j’ai découvert lors de mes nombreuses balades ces derniers mois dans la région. Elle prend le volant et, assis à côté d’elle, je la guide sur les petites routes, au travers des vignes et des charmants petits villages alentour, typiques du sud de la France.

Je lui propose de garer sa voiture dans un petit hameau que je connais bien et de continuer la promenade à pied. Il fait en effet très chaud et cela devenait insoutenable de circuler en voiture malgré les ...

... vitres baissées. Non loin de là, il y a un canal ressemblant énormément au Canal du Midi, où nous allons divaguer un moment jusqu’à atteindre les quelques beautés que j’ai découvert depuis mon installation dans la région.

Sur le canal il y a de petits bateaux de plaisance qui circulent lentement d’écluse en écluse. Le canal est bordé de chaque côté par un large chemin servant à une certaine époque de chemin de halage pour tracter les bateaux. De nombreux promeneurs profitent du fort ombrage offert par les deux rangées d’immenses platanes qui bordent le canal. Nous sommes donc un peu plus au frais que dans la voiture. Un léger vent frais venant en face de nous finit de nous rafraîchir.

Tout en avançant sur le chemin nous discutons des banalités de la vie, de divers sujets, des choses et d’autres qui nous ont étonnés, surpris ou émus ces derniers temps et que nous prenons plaisir à partager ensemble. Je retrouve alors toute la complicité qui m’a toujours uni avec ma jeune cousine et j’ai le plaisir de voir que notre relation, malgré ces quelques mois sans contacts réels, reste intacte et tout aussi naturelle qu’autrefois.

Quelques centaines de mètres plus loin se situe une immense écluse. C’est de là que part le canal le long duquel nous marchions depuis quelques minutes. Nous escaladons le chemin nous menant en haut de cette écluse et c’est alors qu’un magnifique paysage s’offre à nos yeux. À nos pieds il y a une rivière à fort débit qui nous fait face, qui vient buter sur ...