1. Coopération


    Datte: 03/07/2018, Catégories: vacances, amour, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... mettre les choses au point : ce n’est pas ma demi-sœur. Nos parents habitent dans le même immeuble depuis toujours, et nos pères sont cheminots. Nous nous considérons comme frère et sœur. Il n’y a jamais eu rien de sensuel entre nous, même pas un baiser. Cette année je voulais partir seul, mais elle restait coincée chez elle. J’ai accepté de la prendre. Mais cela m’emmerdait, je croyais ne pas pouvoir draguer. C’est pour ça qu’on t’a raconté cette histoire. Je ne sais pas si elle a connu des garçons, mais j’ai l’impression qu’elle est pucelle. Ou plutôt « était » car à l’heure qu’il est, je crains qu’elle ne le soit plus.
    — Comme c’est mignon ! Tu l’as livrée au loup. Mais rassure-toi : Franz est un type bien. Il est très doux avec ses conquêtes. Nous avons couché ensemble une fois, j’ai été satisfaite, bien qu’il ne soit pas assez fougueux pour moi. Dis, tu es prêt à remettre ça ?
    — Oui, mais je voudrais des préliminaires.
    
    Il a commencé par un baiser sensuel. Elle a pris sa tête et a mis sa bouche sur son sein. Il a tété un moment jusqu’à ce qu’elle commence à murmurer. À ce moment-là, elle s’est relevée et s’est placée tête-bêche. Devant son nez, il a vu arriver une figue bien ouverte et sans le moindre duvet. Et il a commencé son travail de sape. Il s’est senti absorbé et même a senti son nez buter contre ses jambes. Jamais aucune fille n’y était arrivée. Elle s’est tout à coup dégagée, l’a plaqué au sol et a pris la direction des opérations.
    
    Ce fut une cavalcade à ...
    ... son rythme, s’arrêtant lorsqu’elle le sentait prêt à exploser. Il a fallu un long moment avant qu’elle ne se décide à prendre son plaisir et à lui donner le sien.
    
    Étendu sans force sur son lit, il garde le silence.
    
    — Excuse-moi, mais j’ai l’habitude de dormir seule. Je vais à côté.
    
    C’est la chaleur des rayons de soleil qui a réveillé le garçon. Il voit une silhouette allongée dans la chambre à côté. Il va admirer sa maîtresse ; il a la surprise de trouver Carine. Elle ne dort pas, elle est silencieuse.
    
    — Carine, ça va ?
    — Oui et non. Oui, j’ai passé une nuit merveilleuse, non pas par le plaisir que j’ai eu, mais du fait que je me suis retrouvée femme. Non, je n’avais jamais connu d’homme, j’étais pucelle et Franz m’a prise. Je lui ai demandé d’aller doucement, il a compris et pendant un long moment, il m’a caressée, embrassée partout. Il m’a même présenté son organe et je l’ai pris en bouche. J’avais entendu parler de cette pratique, mais elle me semblait immonde. Eh bien, j’ai aimé. Puis il m’a pénétrée doucement, lentement. Impression un peu bizarre, pas tellement douloureuse ; sentir dans son ventre un tel morceau, c’est surprenant. Et puis il m’a baisée. J’ai ressenti une sensation bizarre ; pas l’explosion dont parlent mes copines, mais quelque chose d’agréable. Il s’est arrêté puis, sans sortir, il s’est remis en mouvement. Plaisir intense pour lui car il a gémi de bonheur.
    — Jusqu’à hier tu étais une adolescente. Cette nuit, tu es devenue une femme. Mais ...
«12...789...16»