1. Webmaster, quel beau métier


    Datte: 28/01/2018, Catégories: f, couleurs, couple, grossexe, fépilée, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Auteur: Bleuet, Source: Revebebe

    ... suis solide et quand je fais un travail avec plaisir, je ne ressens pas la fatigue.
    — Mais encore, suis-je condamné à ne plus te rencontrer du mercredi au samedi ? Même si je dois prendre des précautions, que me reste-t-il de nous si je ne te vois plus ? J’adore faire l’amour avec toi. N’y a-t-il rien d’autre entre nous ? Cette autre chose disparaît si nous ne nous rencontrons plus. Or notre avenir, sur des années, va être fait d’absences. Je refuse de vivre ainsi.
    — Pense à notre maison, nous y coulerons des jours heureux.
    — Tu me promets le grand soir. C’est maintenant que je veux être heureux. Cette semaine a été désastreuse pour moi. Je ne supporterai pas cette vie sans toi. Il nous reste heureusement le week-end et les trois premiers jours de la semaine, sinon je vais craquer.
    — Tu sais, on n’a rien sans rien. Je veux notre maison, notre mariage et nos enfants. Ça réclame quelques sacrifices. Je les accomplis. N’en grossis pas l’importance.
    — Moi, dans ces conditions, je te l’ai déjà dit, je préfère renoncer à la maison. Et si tu me fais vivre avec une femme fantôme, qui rentre à je ne sais quelle heure, qui fait chambre à part, je vais renoncer au mariage et à une vie commune qui n’en est plus une.
    — Ah ! Bon. Tu fais une dépression, tu exagères tout. Je n’ai pas voulu te réveiller, tu dormais si bien : c’est par amour que j’ai utilisé la chambre du fond. Et je m’en félicite puisque tu es fatigué et peut-être malade du cœur. Je suis désolée que tu le prennes comme ...
    ... ça. Veux-tu que je fasse moins d’heures ?
    — Je souhaite retrouver la vie que nous menions auparavant.
    — C’est que j’ai un engagement de trois mois. Et je dois travailler aujourd’hui de 17 à 24 heures. On m’a même proposé 4 heures le dimanche de 20 à 24 heures en remplacement d’une collègue grippée. On ne peut pas laisser ces pauvres dames toutes seules, tu devrais comprendre.
    — J’admire ta conscience professionnelle. Je constate que tu tiens à ton activité nocturne plus que tout. Dimanche quand tu rentreras épuisée d’avoir torché les mémés, de t’être prêtée à leurs fantaisies extrêmes, au moment de rejoindre la chambre du fond, tu auras théoriquement turbiné 24 heures en 4 nuits. Je connais le tarif horaire, tu auras gagné 9 € fois 24 donc 216 euros.
    — C’est appréciable non ?
    — À ce tarif-là, il te faudra au moins quinze ans pour te payer une petite maison. Quinze années pendant lesquelles tu m’auras privé de ta présence quatre jours et quatre nuits par semaine. Compte tenu de ma maladie supposée par le généraliste mais non avérée, cela ne te paraît pas déterminant ?
    — Mais je ne table pas sur cette maladie passagère. J’espère bien te voir guérir très vite.
    — Admettons que l’électrocardiogramme ne trouve rien et que moyennant quelque fortifiant, je retrouve ma forme, je vais vivre 96 heures par semaine sans toi, sans te voir, sans te parler, pour te retrouver ménopausée dans 15 ans, usée par l’activité débordante à laquelle tu te consacres à fond, sans lésiner et sans ...
«12...5678»