1. Webmaster, quel beau métier


    Datte: 28/01/2018, Catégories: f, couleurs, couple, grossexe, fépilée, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Auteur: Bleuet, Source: Revebebe

    ... suis seul.
    
    Ma toilette terminée, petit déjeuner en solitaire avalé, sur le départ je remarque que la porte d’une chambre est ouverte. Patricia a jeté son manteau en gabardine et ses sous-vêtements de parade ou de pariade sur une chaise.
    
    Elle dort dans cette chambre, allongée, nue, jambes ouvertes, piercing au nombril, oui il est là. Le sexe glabre est fripé, une petite lèvre indiscrète n’a pas retrouvé sa place habituelle. Les assauts lucratifs ont dû se succéder et déjà laissent la marque des abus.
    
    Je me suis préparé avec les bruits habituels de robinet, de rasoir électrique. Elle n’a rien entendu et dort du sommeil de l’innocent : façon de parler.
    
    En sortant du travail, je suis passé chez mon coiffeur. Il me reçoit sur rendez-vous.
    
    Sur la table de cuisine, Patricia m’a laissé un mot :
    
    Samedi matin
    
    Evidemment, je dormais cette nuit au retour de Patricia. Elle s’est glissée dans le lit d’amis sans me réveiller. À sept heures trente le réveil l’appelle, car à neuf heures elle doit tenir sa caisse.
    
    Je n’ai pas le loisir de vérifier si elle a toujours son piercing ou sa marque dans la peau. Elle est devenue subitement très pudique à la maison.
    
    Elle, habituée à se promener toute nue avec un naturel inné dans le couloir ou dans toutes les pièces, se déplace en chemise de nuit devant moi.
    
    Pendant la visite médicale chez mon généraliste, le médecin m’a trouvé triste, a cherché à savoir si j’avais de gros soucis professionnels ou familiaux, s’est ...
    ... inquiété de mon manque de ressort et m’a pris un rendez-vous chez un cardiologue dans un mois.
    
    L’ordonnance est restée sur la table de cuisine pendant que je préparais le repas de midi.
    
    C’est la première chose que Patricia a remarqué en revenant de sa grande surface.
    
    — Mon chéri adoré, tu ne vas pas bien. C’est grave ?
    — Non, une grosse fatigue, le docteur veut se rassurer et me recommande de limiter au maximum les efforts jusqu’au résultat de l’électrocardiogramme.
    
    J’en ai rajouté. Je ne tiens plus à passer après ses servants professionnels dans ce vagin devenu public en salon privé. Je refuse de concourir.
    
    Quelle conduite vais-je adopter avec Patricia ? Je me laisse le temps de la réflexion.
    
    Je ne crois plus guère en son amour.
    
    — Mais alors, est-ce que nous pouvons continuer à nous aimer ?
    — Comme nous l’avons fait hier et avant-hier, certainement. Nous ne nous sommes pas vus depuis mercredi soir et nous n’avons pas fait l’amour depuis le lundi. Donc ma fatigue ne doit rien à des excès au lit : tu prends toutes les précautions pour me mettre à l’abri d’un infarctus ! Tu ne dois pas te sentir coupable de ma fatigue, puisque tu n’as plus de temps à me consacrer. Je sentais bien que ce nouveau travail allait nous éloigner.
    — Mais mon amour, tu sais que c’est pour la bonne cause. Comme je tiens par-dessus tout à ta santé, je ne serai pas exigeante pendant ce mois.
    — Ne crains-tu pas de trop te fatiguer toi-même et de mettre ta propre santé en danger ?
    — Je ...
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