1. Webmaster, quel beau métier


    Datte: 28/01/2018, Catégories: f, couleurs, couple, grossexe, fépilée, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Auteur: Bleuet, Source: Revebebe

    ... masquée » avec Mamadou, le serpent dressé à tête chercheuse ou avec Spartacus, ses deux amis qui la satisferont en alternance. Spectacle renouvelé chaque quart d’heure, en salon public pour sept jetons seulement. On peut prendre des réservations immédiatement en suivant le lien. Non, pendant quelques temps elle ne retirera pas le loup. Elle veut conserver l’anonymat pour ses débuts.
    
    Ceux qui souhaitent découvrir son visage sont aussi nombreux ou presque que ceux qui voudraient voir tomber les autres cache-sexe ou cache-seins. Elle pourrait soulever un sein ? Montrer une pointe. On voudrait qu’elle tire la langue. Voir, tout ce qui est caché doit être vu.
    
    La croix de présence s’est éteinte, moins de douze minutes après son apparition. Le signal vert annonce une absence de dix minutes en salon privé.
    
    J’en profite pour préparer mon appareil photo, je veux garder un souvenir de ses débuts dans son nouveau métier de femme de ménage ou d’aide familiale.
    
    Je jette un coup d’œil sur d’autres filles. Les questions se ressemblent, quelques beaux parleurs sont plus mielleux et plus actifs. On voudrait voir de dos, ou fesses levées.
    
    Peut-elle glisser un doigt dans son string ? Un autre voudrait y voir la main.
    
    Chaque demande plus hardie fait l’objet d’un rappel de l’existence des salons payants, privés ou publics.
    
    Je reviens chez « Fleur masquée ». Hélas, elle ne reste pas longtemps. Suffisamment pour présenter son postérieur. Oui, c’est bien ma Patricia qui ...
    ... offre sur ce plateau son cul moulé, ficelle séparant discrètement ou impudiquement les deux hémisphères généreux, ficelle si étroite qu’on distingue de part et d’autre les deux demi cercles bruns de l’anus.
    
    À l’intérieur de la cuisse gauche, je retrouve la marque de naissance reproduisant la forme allongée de la Corse. Je l’ai si souvent sucée en rêvant de vacances luxurieuses sur l’île de beauté.
    
    Se rouler le soir, nus sur le sable fin de la plage de Calvi, s’étreindre amoureusement au bruit berçant des flots, se faire chevaucher par sa partenaire ravie.
    
    J’en ai rêvé et nous l’avons fait aux dernières vacances.
    
    Moins drôle en réalité qu’en rêve, si l’on se souvient du sable léger qui s’infiltre partout, colle à la peau et rend la pénétration irritante.
    
    C’est elle.
    
    Elle est revenue. Je la convoque en salon privé à mon tour. Salutations. Flatteries. Je demande à pouvoir observer la tache que je devine sur la cuisse. Après quelques minauderies j’ai droit à une vue plongeante sur l’entrejambe, string écarté ; et je termine par l’observation d’une masturbation qui porte ses joues à l’incandescence.
    
    Dix minutes, c’est très court. Elle rit de mon pseudo et formule le souhait de pouvoir faire plus et mieux pour moi très prochainement. Je dois être un garçon charmant. Non elle ne communique pas de numéro de téléphone et encore moins de nom ou d’adresse.
    
    C’est édifiant : en dehors des faux-semblants destinés à gagner du temps, je n’ai constaté aucune retenue ...
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