1. Détente


    Datte: 01/07/2018, Catégories: fh, ff, fbi, jeunes, copains, piscine, fgode, fdanus, Humour Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... lancer un long regard embrasé et commençai, sous ses yeux fiévreux, à me caresser doucement les seins. Il trouva toutefois assez d’énergie pour me répartir avec un sourire :
    
    — Je ne peux pas juger comme ça… j’ai besoin de toucher pour savoir…
    — Allez-y, fis-je en écartant les bras. Mais juste pour savoir, hein ?
    
    Sans doute ayant peur que je ne change d’avis, il referma à la hâte ses mains sur mes seins et se mit à les malaxer avec ferveur. Je le laissai faire quelques secondes, jusqu’à ce qu’il tente même de venir les embrasser ou les suçoter. Mais je bloquai sa tête et le repoussai. Il beugla :
    
    — Vingt sur vingt, sans aucun doute ! Mais laissez-moi vous montrer ceci !
    
    Il s’était reculé d’un ou deux pas et entreprit de déboutonner à la hâte son pantalon pour me présenter fièrement son sexe tendu. Je contemplai un court instant celui-ci et prononçai, arborant un air déçu, mais souriant encore :
    
    — Bof… douze sur vingt. Douze et demi, à la rigueur…
    
    Mais ça ne l’arrêtait pas, il se branlait avec vigueur en contemplant ma poitrine. Toujours espiègle, je lui demandai :
    
    — Dois-je comprendre qu’il me faille terminer mon massage moi-même ?
    — Rââaaaah ! fit-il en passant une main entre mes cuisses et en cherchant brutalement ma vulve humide.
    
    Il immisça deux doigts en moi en continuant de s’astiquer de plus belle, puis dut décider que ça allait et vint se positionner au bout de la couchette de massage, vers mes pieds, et me tira sauvagement par les jambes ...
    ... jusqu’à ce que mes fesses soient au bord de la banquette. Il appuya mes jambes sur ses épaules, puis écarta d’un doigt ma culotte mouillée et sans ménagement aucun, enfonça son sexe dans le mien. Je gémis doucement, imperceptiblement même, en comparaison de ses grognements rauques.
    
    Il se mit immédiatement à me défoncer à toute berzingue, assénant de grands coups de bassin, qui menaçaient à chaque fois de faire s’effondrer la couchette. Je savourais du mieux possible ses rapides déhanchements, mais au bout de deux petites minutes à peine, il se mit à mugir et s’agiter plus fort encore, pour finalement se retirer de mon corps et larguer en râlant sur mon pubis et ma culotte cinq ou six jets de sperme chaud.
    
    Je le regardai avec pitié finir de jouir ; il remballa son sexe et me dit, apparemment heureux :
    
    — Eh ben ! C’était quelque chose…
    — Mouais, il vaut mieux pas que je note, je crois…
    
    Il dut s’apercevoir que j’étais insatisfaite, car il demanda :
    
    — Quelque chose ne va pas ?
    — Essuyez-moi ça et asseyez-vous, je vais vous expliquer ce qu’est une femme…
    
    Il rougit et arracha deux ou trois tranches d’essuie-tout pour effacer les traces de sa prompte jouissance, puis proposa :
    
    — Vous… euh… vous désirez un autre massage ?
    — Bof !
    
    Je me dressai pour me relever ; je retirai ma culotte sous ses yeux perplexes.
    
    — Je vous la laisse, elle est toute sale…
    
    Je ramassai mes autres affaires ; il me regarda sortir sans un mot. Dans le hall, l’autre masseur s’était ...
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