Détente - Histoires de Sexe

Détente

... sérieux s’adressa à Audrey en désignant l’une des cabines :

— Vous venez avec moi ?

Mon amie parut hésiter, me regarda et lâcha finalement :

— Euh… non, je préfère aller avec votre collègue, si ça ne vous gêne pas…

La porte de la cabine fermée s’ouvrit à cet instant et une jeune femme resplendissante en sortit, souriant d’un air détendu, suivie d’un jeune homme en sueur qui paraissait épuisé. Il vint s’asseoir lourdement près de nous en soupirant :

— Pfffouh ! Ce métier est harassant !

La jeune femme qui venait de sortir se recoiffa et tira sur ses vêtements puis annonça gaiement :

— Merci beaucoup ! À demain…

Elle sortit sous les regards rieurs des deux autres employés.

— Bon, à nous ! fis-je, amusée.
— Ah non ! s’exclama le masseur exténué. J’en peux plus…
— Suivez-moi, je vous en prie, dit la femme à Audrey, qui s’exécuta avec plaisir.

Je posai ma serviette et mon maillot de bain sur un des fauteuils et suivis l’autre jeune homme dans la troisième cabine. Il ferma la porte derrière nous en me proposant de retirer mon tee-shirt puis de m’installer. Sous ses yeux dubitatifs, pour être plus à l’aise, j’ôtai en fait la quasi-totalité de mes vêtements, ne gardant que ma culotte. Il faisait des efforts désespérés pour ne pas attarder ses yeux sur ma poitrine, toujours maintenue tendue par le gel. Je m’allongeai à plat ventre sur la couchette en souriant.

Il frotta ses mains en y étalant une sorte de crème et commença de me masser le dos et les ...

... épaules. Avec professionnalisme, il pétrissait le moindre de mes muscles de mon cou jusqu’à mes reins. Une dizaine de minutes durant, je savourai les mouvements de ses mains expertes. Il avait entamé la discussion :

— Vous êtes déjà passée devant le jury ?
— Oui, il y a une demi-heure à peu près.
— Ils ont dû être sous le charme…
— Ils n’avaient pas l’air mécontents… On verra cet après-midi, j’attends mes notes avec impatience.

Il ne répondit rien ; mais ses caresses s’attardaient de plus en plus vers le haut de mes fesses. Je poursuivis avec malice :

— Combien vous me mettriez, vous ?
— Moi ? Euh…

Il avait l’air plutôt embarrassé.

— Pour ce que j’en ai vu, hasarda-t-il, j’aurais bien envie de vous mettre vingt sur vingt…
— Ah oui, mais ça, c’est une impression globale. Nous devons détailler… Commençons par mes fesses. Qu’est-ce que vous en dites ?

Cela dut lui sembler une invitation suffisante car il précipita une main dans ma culotte, caressant mes globes fessiers et effleurant mon anus. J’avais très envie de jouer avec ce jeune homme…

— Il s’agit de les noter, pas de les explorer… fis-je, le rappelant à l’ordre en me saisissant de son bras pour le remonter vers mon dos.
— Excusez-moi… chevrota-t-il en reprenant ses massages bien professionnels le long de ma colonne vertébrale.
— Alors ? Combien ?
— Euh… je ne sais pas… dix-neuf et demi…
— Hmm, merci… Passons à ma poitrine, lançai-je avec provocation en me retournant.

J’en profitai pour lui ...