1. La sauvageonne


    Datte: 01/07/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, fépilée, vacances, bain, volupté, hsoumis, fdomine, humilié(e), contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, Auteur: Jeff, Source: Revebebe

    ... me déchirer le torse. En essayant de regarder autour de moi, je ne vois plus le bout des doigts de celle qui vient de s’empaler sur ma queue. Elle s’est dégagée, doucement, presque subrepticement de moi. Elle a décollé ses fesses de mon ventre et sans que je la voie, elle remonte déjà sur le ponton. Je distingue ses pieds et ses jambes qui passent à côté de moi, me frôlent en longeant avec précaution le bord du ponton, là où dessous, il y a une grande traverse à peu-près solide. Puis face à moi, dans le soleil elle apparaît en contre-jour, récupère en quelques gestes graciles ses fringues et se rhabille. Surpris par la lenteur de son attitude, je l’interpelle :
    
    — Bon ! Quand tu auras fini de t’habiller, tu penseras à venir m’aider à sortir de là, avant que je plonge !
    
    Elle enfile en toute tranquillité son pantalon puis son tee-shirt, sans mettre le moindre sous-vêtement et ramasse sa paire de sandalettes. En les balançant au bout de ses doigts et avec une certaine provocation, elle vient enfin vers moi, marque un temps d’arrêt. Je lève la tête et ouvre la bouche quand elle se remet en marche, me dépasse et disparaît de ma vue ! Elle m’abandonne là. D’elle, je n’ai vu qu’un simple haussement d’épaule. Je me mets à glapir :
    
    — Hé ! Hé ! Reviens… Tu ne peux pas m’abandonner là, comme ça !
    
    J’ai beau crier, tempêter, m’égosiller… Rien n’y a fait. Elle se tire en me laissant me dépatouiller avec mon trou, mon ponton, mes ...
    ... pieds dans l’eau, mes habits à moitié défroqués et mouillés.
    
    Puisque je ne peux pas me hisser, je décide de glisser le plus en douceur possible, pour éviter échardes et pointes sur mon visage. Je me retrouve dans l’eau jusqu’à la poitrine, les pieds enfoncés dans une boue profonde qui joue aux ventouses avec eux. Mon pantalon et mon slip sont remplis de cette vase fine, noire et odorante. Je galère durant près d’une demi-heure pour sortir de mon trou puis de l’eau fraîche. Mon corps me fait mal de partout. Je suis couvert de zébrures rougeaudes et de coupures. J’ai des échardes dans les cuisses, dans mes flancs. Dès que j’arrive à atteindre la berge stable, je cherche des yeux où ma sauvageonne a disparu ou si, des fois, elle ne s’était pas dissimulée sous un taillis pour m’esbigner et se foutre de moi. Mais non ! Je suis seul. Seul avec mes misères, mes habits bon à essorer. Je me déshabille complètement. J’essore mon pantalon, mon slip, mon tee-shirt (enfin ce qu’il en reste). Je m’allonge à mon tour, nu au soleil, mais pas au bout du ponton, là où j’avais vu la sauvageonne. Et j’attends que mes habits sèches avant de rentrer, un peu penaud de cette aventure, courbatu et moulu.
    
    Je ne sais toujours pas qui est cette sauvageonne. Mais dès que je le peux, je retourne à la source, dès fois qu’elle y soit. Au fait, ne comptez pas sur moi pour vous en donner les coordonnées GPS, des fois que vous vous fassiez mal, je m’en voudrais… 
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