1. La sauvageonne


    Datte: 01/07/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, fépilée, vacances, bain, volupté, hsoumis, fdomine, humilié(e), contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, Auteur: Jeff, Source: Revebebe

    C’est bien au détour d’un chemin creux, un chemin qui ne mène nulle part au milieu de la garrigue provençale, que je tombe nez à nez avec elle. Je me statufie, béat que je reste devant le spectacle de sa nudité offerte à la nature et au soleil.
    
    Il faut dire que je m’attendais à tout sauf à me trouver en face d’une jeune beauté blonde, nue comme ver, réfugiée dans ce coin perdu de brousse, au bord de l’unique source claire du coin. Je viens certainement de rater un remake de « à la claire fontaine » et il ne me reste plus que le spectacle d’une belle donzelle en train de sécher. Pourtant la carte indiquait bien la présence d’une source, minuscule petit point bleu au milieu d’une zone aride. En réalité, c’est un joli bosquet touffu et ombragé, havre de verdure et de fraîcheur dans cette fournaise. Elle s’est perchée sur une sorte de ponton bancal, le corps largement offert au soleil et à ma vue. Se croyant tranquille, elle a enlevé toutes ses hardes et les rayons rendent un hommage remarquable et mordant à sa beauté. Ils viennent, les veinards, lécher son corps où quelques traces d’eau scintillent encore. Appuyée sur ses coudes, la tête renversée, ses longs cheveux blonds comme les blés, mal peignés, tirebouchonnés, balayent les planches. Le buste saillant porte des seins pas très gros mais aux bouts pointus et aux larges aréoles très brunes. Ils se soulèvent délicatement au rythme d’une respiration sereine. Son ventre plat, marqué d’un mignon petit creux pour son nombril, ...
    ... semble boire la chaleur ambiante. Entre ses jambes largement écartées, je ne peux rien ignorer de son intimité. Un jeune sexe imberbe au bombé appétissant et aux lèvres jointes qui forment deux crêtes hermétiquement closes, sillon brun sur cet abricot rose. L’un de ses pieds, plonge dans l’eau et elle le balance avec nonchalance.
    
    Légèrement en retrait de la petite réserve d’eau, à moins de vingt pas d’elle, sa vue m’a stoppé net. Je me tapis dans les fourrés pour la contempler et profiter du spectacle. À tout instant, je m’attends à ce qu’elle m’aperçoive. C’est indubitable : elle va refermer ses jambes, ramener ses bras devant ses seins, bref elle aura ce sursaut de pudibonderie qui sied alors en de semblables circonstances. Mais il n’en est rien. Je pressens pourtant qu’elle a dû me voir ou tout au moins entendu approcher. Non, elle ne bouge pas. Je ne peux pas rester ainsi plus longtemps et me décide à avancer et faisant du bruit pour l’alerter de ma présence. Sous mes pas, brindilles et branchettes craquent et je contourne la mare sans plus me cacher d’elle. Elle, telle une statue, reste immobile, enfin à ce qu’il me semble. Et avec précautions, je me hasarde sur le ponton qui me semble soudain bien fragile.
    
    À peine j’avance un second pas que sa voix me surprend. Sans abandonner ni sa pose, ni son flegme, sans fermer ses jambes, ni cacher ses seins, tête renversée et yeux clos, elle m’apostrophe :
    
    — Salut ! On se promène ?
    — Bonjour…
    
    Et je n’ai pas le temps ...
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