La sauvageonne
Datte: 01/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
fépilée,
vacances,
bain,
volupté,
hsoumis,
fdomine,
humilié(e),
contrainte,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
Auteur: Jeff, Source: Revebebe
... (c’est aussi le cas de le dire !).
Après m’avoir aguiché sur son ponton, après s’être fait lécher le minou et m’avoir sérieusement mis au bord de l’éjaculation, maintenant elle s’empale sur mon dard et à la force de ses petits bras musclés – décidément plus musclés que je ne les avais estimés – elle se fait pénétrer.
Une fois encore, je suis une sorte de jouet entre ses fesses. C’est elle qui donne le tempo et la puissance de la pénétration, à son rythme – ou du moins au rythme qui lui chante - c’est à dire lentement - comme pour mieux apprécier et se délecter de cette scabreuse scène. Assouvit-elle peut-être un fantasme ou accomplit-elle une sorte de vengeance ? Peu importe, je suis à sa merci, à son service et elle use de moi comme bon lui semble. C’est bon mais frustrant. J’ai toujours, par commodité, l’habitude d’empoigner mes cavalières que je chevauche en levrette, par les hanches et j’aime rythmer moi-même mes élans en elles. Cette « prise de possession » me manque terriblement et frustre une partie de mon plaisir qui ne devient plus que « mécanique », réel pourtant, mais mécanique. Et mon sexe grossit de plus en plus ! Je pousse comme un beau diable avec mes reins pour tenter de lui montrer que l’Homme, c’est moi ! Mais en réalité, c’est bien elle qui me fait l’amour ! Et la cadence du tapotement de ses fesses contre mon ventre s’accélère. Je suis totalement empalé, rivé à son sexe avec lequel elle joue. Contractant ses muscles et cadençant ses mouvements de ...
... pénétration sur la montée de son extase jusqu’à ce que nous explosions, ensemble. À l’unisson. Elle pousse un immense cri, qui se répercute sur la surface de l’eau, heureusement atténué par le bois du ponton. Moi, qui grogne, je reçois en écho déformé mes « Grrr ! » et mes « Han ! » et dans un effort je creuse mes reins pour aller me nicher au plus profond d’elle, les mains lamentablement crispées sur les planches en signe de vaine possession de son corps.
De grosses gouttes de sueurs dégoulinent sur mon visage, sous le triple effet de mes efforts physiques, de ceux que je réalise pour me maintenir dans ma précaire situation et de l’ardent soleil qui maintenant m’éblouit. Alors que je calme mon souffle ma queue se fait doucement expulser par l’intimité gonflée de la demoiselle. Bien entendu, je regrette déjà la brièveté de notre accouplement et me promet, dès qu’elle m’aura aidé à me sortir de ce mauvais pas, de lui montrer que j’ai quelques ressources cachées et que je ne suis pas homme à me laisser violenter par une demoiselle qui a abusé de ma situation.
Avec peine, j’ouvre mes yeux face au brûlant soleil, pour tenter d’évaluer à nouveau ma situation. Elle a encore empiré ! Mes épaules forment deux bosses autour de mon cou et j’ai de plus en plus de mal à me maintenir droit. Mes pieds s’enfoncent inexorablement dans une vase chaude et gluante. Mon pantalon et mon slip ont glissé sur mes pieds et sont totalement immergés sous l’eau. Les pointes des planches continuent à ...