1. Ambassadeur de France aux antipodes (2)


    Datte: 30/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut, c’est votre folle de lycra.
    
    Caroline, la maman, était donc en train de commencer à m’embrasser tout en me tenant le sexe à travers le drap. Il n’y a pas à dire, la famille était en manque, je n’en croyais pas mes yeux, j’étais appelé à satisfaire la mère et les filles durant mon séjour en Australie. En plus, apparemment, il n’y avait pas de problème de partage.
    
    — Tu sais, Franck, tu es un peu comme mon fils, à l’exception du fait que nous sommes loin de tout. Kristiana et Marie ont craqué pour toi, mais sache que je suis encore femme et que tu es loin de me laisser indifférente. Voilà très longtemps que je n’ai pas vu mon mari Claude, je l’ai averti que si tu étais appétissant, je ne serais pas contre de faire des folies avec toi.
    
    C’est sur ces mots que Caroline commençait à me masturber à travers le drap et - surtout - s’était remise à m’embrasser. Bien que les draps soient fins et soyeux, j’ai rapidement eu peur que le frottement m’irrite le prépuce. Caroline a dû lire dans mes pensées car elle a glissé sa main sous le drap pour reprendre mon second cerveau en main. J’avais l’impression qu’elle prenait soin de mon sexe comme si c’était un trésor, en même temps, sans vouloir être prétentieux, il allait falloir en prendre soin pour satisfaire toutes les filles de la maison.
    
    Ses lèvres étaient fraîches et sucrées, c’était vraiment un plaisir que de partager un baiser avec elle. Son regard était émerveillé, j’avais l’impression qu’elle n’avait pas vu d’homme ...
    ... à sa disposition depuis bien longtemps. C’était quand même agréable de pouvoir entendre la langue française si loin du pays, d’autant que Caroline avait l’air de bien la maîtriser, en fait, elle avait vécu quelques années dans sa jeunesse dans le sud de la France. Pour plus de simplicité, Caroline a soulevé mon drap, je crois qu’elle voulait aussi voir ce qu’elle tenait en main. De temps à autre, sa main - qui était en train de me masturber - abandonnait mon sexe pour me caresser le corps et ça aussi, c’était agréable. Pour mon plus grand plaisir, je ne faisais que subir, il faut reconnaître que la maman était vraiment très douce avec moi. Je suis devenu rouge de honte quand Caroline a interrompu notre baiser pour venir en déposer un sur la pointe de mon gland.
    
    Elle en a déposé un deuxième puis un troisième et ensuite un autre plus sur la hampe, quelques instants après, elle prenait mon sexe en bouche. Voilà quarante-huit heures que j’étais là et les trois femmes de la maison m’avaient déjà fait une turlutte.
    
    Je n’ai pas senti une seule fois ses dents, j’avais l’impression qu’elle n’en avait pas, tellement c’était doux et qu’elle ne faisait pas d’effort. Monsieur Gainsbourg parlait d’un sucre d’orge, je ne sais pas si celui-ci était à l’anis, mais je sentais vraiment de la gourmandise dans sa façon de faire. Durant dix bonnes minutes, j’ai senti sa langue et ses lèvres se promener partout sur mon membre, je n’étais pas un grand expert en fellation, mais je suis persuadé ...
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