1. Ambassadeur de France aux antipodes (2)


    Datte: 30/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... n’a pas été bien longue à franchir une étape supplémentaire quand sa main a glissé dans mon short, j’en ai même poussé un petit cri de surprise. Pendant ce temps, dans nos bouches, c’était aussi sa langue qui dirigeait les opérations, la mienne n’avait pas eu encore l’occasion d’aller visiter la cavité nouvelle qui se présentait à elle. Bien qu’elle me paraisse un peu pressée, elle faisait ça avec beaucoup de douceur, son odeur corporelle était un plus qui me faisait tourner la tête. À l’étage du dessous, maintenant, Marie était carrément en train de me masturber, j’avais l’impression que ces trois femmes étaient vraiment gourmandes.
    
    — J’ai l’impression que vous vous amusez bien derrière.
    
    En entendant cette phrase, j’ai tout de suite sursauté et donné fin au baiser, par contre, Marie a insisté pour garder sa main dans mon short. Je ne sais pas vraiment à quoi elle jouait, mais j’avais l’impression qu’elle voulait que l’on se fasse surprendre.
    
    Après quelques minutes de réflexion, je me demandais si la mère n’était pas complice de ce que j’étais en train de vivre à l’arrière du véhicule. Imperturbable, Marie avait carrément détaché ma ceinture ainsi que la boutonnière de mon short, pour avoir un libre accès à mon sexe. Finalement, nous sommes arrivés à l’aérodrome avant qu’il y ait une catastrophe entre mes jambes. Quand je suis sorti du véhicule, je me suis pris un coup de chaud, c’est là qu’on apprécie la climatisation, en même temps, c’était l’idéal pour attraper ...
    ... la crève. J’ai regardé autour de moi et je me suis cru dans une scène de Crocodile Dundee, j’ai rapidement appris que l’aérodrome n’était fréquenté que par un ou deux avions par semaine, quand je parle d’avion, je parle de petit monomoteur pouvant accueillir six à huit personnes maximum. En général, les passagers étaient remplacés par du fret que le pilote dispatchait dans la région.
    
    En même temps, nous venions de rouler presque une heure, c’était la seule habitation que nous avions croisée depuis que nous roulions.
    
    Le colis pour le village était assez volumineux et je me suis chargé de le mettre à l’arrière, dans la benne, avec l’aide complice des deux sœurs qui en profitaient pour avoir des mains baladeuses. Quant à notre colis, c’était un nouveau réservoir pour le groupe électrogène. Caroline a causé un long moment avec le responsable du site, il n’y avait pas de trace de l’avion, mais un petit hélicoptère avec seulement deux places de front. Cela faisait drôle de voir de l’activité au milieu de nulle part, d’autant plus que ce monsieur pouvait prétendre avoir une petite société. Nous avons fini par prendre la route direction du village Aborigène. Contrairement à tout à l’heure où la route était relativement de bonne qualité, nous avons rapidement quitté la route pour emprunter une piste dont le revêtement rappelait fortement de la tôle ondulée. On sentait que cela secouait, mais nous restions confortablement installés dans mon siège.
    
    Ah ! J’avais oublié de vous ...
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