1. Papa s'en va-t-à confesse


    Datte: 29/06/2018, Catégories: fh, hplusag, extracon, copains, neuneu, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... Oui mais moi aujourd’hui, c’est toi que j’aime, et puis qu’elle est chaude ta queue, Karim, qu’elle est chaude !
    
    Brigitte a défait la braguette de papa, elle a plongé sa main à l’intérieur. Il lui dit :
    
    — OK Brigitte, Ok cette fois, mais promets-moi que c’est la dernière fois, promets-le-moi, cherche-toi un copain, Brigitte, c’est pas les mecs qui manquent à la fac, ce que nous faisons n’est pas bien !
    — Je m’en fous si c’est bien, c’est toi que j’aime, et puis à la fac aujourd’hui, ils sont mous les mecs, ils sont nuls à chier, génération Gel et Yaourt. Moi, c’est les vrais hommes que je veux, les durs, les barbes drues, les mecs poilus, bruns, pleins d’histoires, qui me font rigoler, rêver, vibrer, laisse voir cette merveilleuse queue…
    
    La queue de papa sort du pantalon, grosse, gonflée. Brigitte ne la lâche pas de la main, la frotte, lui fait branlette. Puis Brigitte se met à genoux, embrasse le sexe de papa, le parcourt à petit coups de langue, lèche ses bourses, le met entièrement dans sa bouche. Papa ferme les yeux, campé sur ses fortes jambes légèrement écartées, tous ses muscles sont tendus à fond. Papa dit :
    
    — Oui Brigitte, c’est bon, c’est bon, oui, comme ça, encore, enfonce encore, oui, enroule la langue sur le gland, oui, encore. T’es formidable Brigitte, ta langue est soyeuse. Tu es belle Brigitte, vraiment belle, autant que ta mère à la belle époque, lorsque nous étions à la fac, autant, et même mieux. Seulement attention aux dents, ça fait ...
    ... mal…
    
    Un moment après, Brigitte sort le sexe de papa de sa bouche et se redresse. Elle laisse tomber sa petite jupe puis enlève sa culotte. En même temps, papa laisse traîner son pantalon par terre. Entre les chaises entassées, Brigitte dégage la petite table en plastique. Elle est toute nue. Elle se met dos sur la table, remonte ses jambes, les écarte. La moule, les petites bananes, le trou. Elle a toujours ses chaussures de dix centimètres, comme à la télé. Je vois tout. Mes jambes frémissent. Elle dit :
    
    — Je me doutais que tu t’es tapé ma mère aussi, petit coquin ! Si ça se trouve, je suis peut être ta fille…
    — C’était à la fac, Brigitte, tu sais, tout le monde couchait avec tout le monde à notre époque, on était fou, et puis on n’avait pas cette saloperie de Sida, on se faisait ça parfois en partouze !
    — Et papa s’est tapé aussi tante Annie ?
    — Et comment ? Plusieurs fois, devant moi alors que je prenais ta mère en levrette, et puis je me faisais sucer par Annie alors que ton père la défonçait et ta maman me léchait les couilles, c’était beau tout ça à l’époque. C’était mai 68, les années 70, l’espoir, on pensait qu’on allait devenir tous rouges, communistes, égaux, des conneries. Et voilà ! Même moi, je suis devenu patron, capitaliste, j’exploite les travailleurs, les immigrés, le travail au noir, je fuis l’impôt comme la peste. Quelqu’un m’aurait souhaité ceci il y a trente ans, je l’aurais butté de suite, par deux balles dans les jambes, une dans chaque. Tiens on est ...
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