1. Papa s'en va-t-à confesse


    Datte: 29/06/2018, Catégories: fh, hplusag, extracon, copains, neuneu, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... fuir celle de Brigitte.
    
    — Tu es folle Brigitte, Annie peut revenir à tout moment.
    — Eh ben qu’elle revienne, Annie, je m’en fous, moi, tu m’as pas dit que tu m’aimes Karim ? Suffit de la quitter Annie et je viens avec toi.
    — Arrête tes conneries, qu’est-ce t’as à foutre avec moi, ta vie est devant toi, Brigitte !
    — Mais tu m’aimes Karim, n’est-ce pas que tu m’aimes ? et puis tu m’as dépucelée Karim, c’est toi, souviens toi Karim.
    — Arrête de faire l’innocente Brigitte, tu m’as bien allumé aussi, souviens-toi, tes petits coups de pieds dessous la table, tes clins d’œil, et ce jour où t’étais sans culotte devant moi dans votre salon avec ton papa et ta maman à côté, et tu me faisais voir ta petite vulve en ouvrant tes jambes et en remontant ta jupe ! À la Sharon Stones ! Tu te souviens de ça aussi Brigitte, tu vas pas me dire que c’était fortuit, que c’était par hasard ! Et puis tu voyais ma gêne et mon embarras. Ma queue mal logée qui gonflait et qui me faisait souffrir, alors j’ai tenté de la calmer comme je pouvais, en la coinçant sous le slip, en bougeant les jambes, tentant de cacher la bosse, alors qu’est-ce que t’as fait, Brigitte, tu te rappelles, qu’est-ce que t’as fait ? T’as laissé tomber un truc, je sais pas quoi, et puis pour le chercher, tu t’es levée et tu t’es courbée en entier, devant moi, me donnant le bon angle pour admirer ta croupe éclatante, serrée sous ta jupe, et puis t’as même écarté les jambes, Brigitte, me laissant voir l’échancrure, à peine, ...
    ... mais assez pour savoir qu’elle était bien mouillée, miroitante, poilue, comme je les aime.
    — Et alors, c’était un jeu de gamine ça, ça ne mène à rien, je t’ai pas obligé à me dépuceler, moi, et puis tiens, voilà que je te sens bander encore, je te fais de l’effet Karim, je te fais de l’effet, je sais que tu m’aimes.
    
    Toujours collée à papa, Brigitte met sa main sur le bas de son ventre, là où pointe une bosse dans son pantalon.
    
    — Je sais que tu m’aimes Karim, je le sens dur, ton sexe, dur comme je l’aime.
    — Je te supplie Brigitte, arrête, je te supplie, y a une différence entre amour et désir, faut que tu le saches. Tu me fais bander c’est vrai, mais c’est pas de l’amour ça, je suis si vieux et tu es si charmante, pétillante, pulpeuse, comment veux-tu que je ne bande pas ? je suis du genre humain.
    — Je t’aime Karim, et je l’aime ta pine, tendue, belle comme elle est.
    
    Brigitte ramène son ventre sur la bosse de papa, elle se frotte contre elle. Elle frétille comme un petit poisson dans l’eau. Papa dit embarrassé :
    
    — Je te supplie Brigitte, tu oublies que ton papa est mon meilleur ami, que j’étais à la fac avec lui, ta maman et Annie, tu oublies que je t’ai vu naître, j’étais parmi les premiers à te prendre dans mes bras juste après ta naissance, c’était presque un an après la naissance de Zozou, je te voulais pour Zozou quand tu étais petite, Brigitte, malheureusement il a eu ce qu’il a eu, le pauvre, tu oublies que t’as grandi devant moi, comme ma propre fille
    — ...
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