1. Papa s'en va-t-à confesse


    Datte: 29/06/2018, Catégories: fh, hplusag, extracon, copains, neuneu, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... même entré tous les deux dans ta mère en même temps, chacun dans un trou. Elle était en avance ta maman pour ces trucs, c’était elle qui nous ramenait des films et on essayait de faire pareil. Annie ne voulait pas de ces cochonneries, elle reste aux classiques, mais elle était aussi chaude, insatiable. C’étaient des vraies furies ces deux nanas, du jamais vu !
    
    Papa se rapproche de Brigitte, sa queue le devance. Debout, il lui tient les jambes, les remonte très haut, les pose sur ses épaules. Je ne vois plus la moule. Ils sont collés.
    
    — Oh Karim, vas-y, défonce-moi !
    — Tu aimes ça, Brigitte, voilà, j’y suis.
    
    Brigitte s’agite, frétille. Elle crie, dit des choses incompréhensibles, meugle. Papa va-et-vient par des grands mouvements de hanches, toujours collé. Elle l’accompagne dans le mouvement, toute la table vibre. Enfin j’entends sa voix chevrotante :
    
    — Et alors, comment elle était ma maman, comment ?
    — Comme toi, Brigitte, comme toi, elle en voulait toujours plus, et Annie aussi. Alors, parfois, quand on pouvait plus avec ton papa, on invitait Kader, un sénégalais, ami de la fac, un black, avec une vraie queue de black, une lame, un palmier, un truc à satisfaire une jument. Alors c’était la fête pour les nanas. Nous, on observait de loin, tranquilles, on buvait de la bière alors qu’elles s’en allaient l’astiquer, le Kader, de suite, dès qu’il entrait, le sucer, lui faire tout ! Et il aimait ça, Kader, il adorait, il se laissait aller, il leur faisait tout ce ...
    ... qu’elles voulaient, dans toutes les positions, dans tous les trous, elles le vidaient quatre, cinq fois, parfois six fois, il en demandait toujours. Alors moi, pendant ce temps, je lui préparais à manger, Kader, parce que, comme il disait, il lui fallait des forces, des steaks, surtout des steaks, des entrecôtes sur le grill, bien cuites, il en prenait des kilos, il adorait ça. Et du pinard aussi, il en buvait des bouteilles, Kader, duVieux Pape, à deux francs la bouteille en plastique, on était pauvres à l’époque.
    
    Maintenant Brigitte croise ses jambes derrière le dos de papa, et ses ongles rouges s’enfoncent dans ses fesses crispées. Elle s’agite de plus en plus, elle accompagne papa dans ses mouvements. Elle gémit à chaque souffle. Elle dit, à peine audible :
    
    — Alors, raconte encore, comment elle était ma maman, j’adore ça…
    
    Tout en battant des hanches, papa dit :
    
    — Une fois ta maman a voulu tout mettre dans sa bouche, undeep throating, comme elle disait, une gorge profonde en somme. Alors elle s’est allongée sur la table, la tête dehors, puis elle a tendu le cou et laissé tomber son petit visage en arrière, la bouche ouverte. On voyait, dessinés sous la peau de sa gorge, les anneaux de sa trachée, comme des bracelets. Ses cheveux tombaient plus bas, libres dans l’air. Ses yeux brillaient, elle nous regardait à l’envers. Kader, campé sur ses muscles en acier, tout scintillant comme une belle mécanique luisante, lubrifiée, rutilante, on aurait dit qu’il était fait ...
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