1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1116)


    Datte: 28/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... Relèves-toi, alors !
    
    Tandis que je me relevais, je tombais devant lui tant la douleur me faisait plier sur mes cuisses en feu… Walter me rattrapa, me prit dans ses bras, me levant comme un fétu de paille, (inquiet même) il m’allongea sur le lit, mais, posée sur mes fesses, je fis un tel bond tant la douleur des marques sur les fesses était cuisante, que je me remettais immédiatement sur le ventre… Il me laissa ainsi un bon moment et se rendant compte que je m’étais enfin calmée, après avoir vérifié les marques qui lui paraissaient, certes bien frappées, mais sans danger, m’ordonna à nouveau de me relever…
    
    - Remets-toi comme tout à l’heure ordonna-t-il !
    
    Pendant une seconde je ne bougeais pas, (la peur que cela recommence) puis j’obéis. Je l’entendis défaire son pantalon, sans le voir, le sentit poser ses mains battoirs sur mes fesses, enfin aux endroits non marqués, les écartant, puis il posa son gland sur ma rosette qui se ferma puis immédiatement s’ouvrit. Walter n’était ni mauvais ni méchant, il appliquait seulement les consignes données par le Maître. Il poussait, sa bite forçait mon ouverture anale, je tentais d’écarter encore plus les jambes, pour m’ouvrir plus, et peu à peu, me détendant, il s’enfonçait lentement mais sûrement en mes fesses. Avec ...
    ... lui, cette sensation d’être remplie m’étonnait toujours, il était si gros que je ne pouvais ressentir autre chose que d’être rassasiée, pleinement remplie… Il s’enfonçait profondément à chaque fois et ensuite commençait ses mouvements de piston, lents au début, puis de plus en plus forts, puissants, dévastateurs ce qui, immanquablement, et malgré les douleurs, m’amenait à déclencher en moi des pulsions orgiaques. Son travail, méticuleux, d’allers-retours, élargissait ma muqueuse anale mais en même temps, labourait profondément mon rectum comme le ferait le soc d’une charrue. Le Majordome en vieux connaisseur de la chose féminine, savait s’y prendre, alternant les fortes poussées, les violents coups de reins avec les moins forts, contrôlant de ce fait la montée des désirs en la femelle que je devenais à chaque fois avec lui. Walter avait un self contrôle incroyable et il pouvait me pistonner ainsi pendant près de trente minutes sans faire montre d’une quelconque arrivée de son foutre. C’est ce qu’il fit en cet instant ; après un labourage systématique qui me faisait « oublier » mes douleurs, il ressortit complètement laissant béante l’ouverture anale. Ensuite, il s’enfonça sans préambule dans ma chatte gluante, jusqu’au fond, me remontant le col utérin….
    
    (A suivre …) 
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