1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1116)


    Datte: 28/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... j’enfonçais deux doigts et me branlant ainsi devant l’ « auditoire »… les fourchettes frappaient les assiettes, le dessert était servi, dessert que les invités engloutissaient sans même prendre le temps de le déguster, tous entièrement tournés vers le spectacle que j’offrais, spectacle d’une salope vicieuse en chaleurs qui se donnait à leurs regards pervers… Devant la montée très palpable des grondements des invités perdant la tête, Monsieur le Marquis et le Manadier durent mettre fin d’autorité à ma prestation et c’est non encore assouvie que je dus redescendre de la table, revenir la tête baissée aux côtés du Maître, reprendre ma place, complètement essoufflée, transpirante, comme sortant d’un rêve… brutalement, rêve non terminé… Le Noble me tapotait avec amour la main, je le regardais comme si je cherchais de sa part sa fierté et son contentement… Alors que « mon public » était déchainé, il tapait fortement des pieds au sol résonnant mais aussi par de multiples applaudissements à n’en plus finir, le Châtelain me dit alors à l’oreille :
    
    - Jai de grands projets pour toi, Ma belle petite chienne, de très grands projets… tu es… merveilleuse…
    
    - Merci Maître, répondis-je en rougissant…
    
    - Messieurs, calmez-vous… calmez-vous !, s’adressa-t-il à l’assemblée en effervescence, Ma chienne vous a excité et je m’en réjouis, c’était mon dessein ! Mais je ne vais pas vous laisser sur votre faim ! Je vous l’offre ! Elle est à vous pour la soirée et la nuit ! Prenez là par tous ses ...
    ... orifices, baissez-la comme vous voudrez ! Usez et abusez de son corps à satiété ! …
    
    Monsieur le Marquis n’avait pas fini ses derniers mots qu’une volée de « hourras » se fit entendre suivit d’une ruée d’hommes bondissant sur mon corps. Je fus investie par des dizaines de mains baladeuses, des queues déjà dressées que je dus sucer tandis qu’on me baissait à tout va. A peine un homme avait joui qu’un autre prenait sa place que ce soit dans ma chatte, mon cul ou ma bouche … J’étais devenue un réceptacle à sperme et la nuit fut orgiaque. Le Maitre dans sa grande bonté m’avait autorisé à jouir à souhait toute la nuit alors je ne me suis pas privé par d’innombrables jouissances lesquelles je ne saurai chiffrer tant elles ont été nombreuses jusqu’au petit matin…
    
    J’eu droit à me reposer dans le lit du Maître pour dormir toute la matinée. L’après-midi fut consacrée à une magnifique balade à cheval en pleine Camargue. La soirée et la nuit suivante marquèrent la fin des deux premières journées si intenses en sensations. Un banquet était prévu en l’honneur du Maître. Pendant que Monsieur le Marquis parlait affaires avec le Manadier, dans le bureau de celui-ci, j’avais été envoyée en compagnie de Walter, me préparer. Le Manadier nous avait adjoint sa fille, Laure, 20 ans et Michel, un jeune homme travaillant dans la maison, pour nous guider et nous aider. Il était 18 heures, le banquet était prévu pour 21h30. Michel vint nous chercher et nous conduisit vers des chambres annexes aux ...