1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1116)


    Datte: 28/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... appartements du Manadier. C’est dans une de ces chambres que je logerais jusqu’au demain soir et non plus dans le lit du Maître. Michel nous fit entrer, moi et Walter et nous découvrîmes des chambres très bien équipées, lit à baldaquin, très belle tapisserie, salle de bains superbe avec tout le confort… Michel nous laissa, Walter et moi, nous disant de nous faire signe en cas de besoin. Seule avec le Majordome, celui-ci m’ordonna, avant d’aller prendre un bain, de me pencher sur le lit, mains posées sur celui-ci, fessier bien offert, ajoutant :
    
    - Si le Maître est particulièrement flatté de ta nuit avec les hommes du Manadier, il est aussi agacé de ce qui lui a semblé, être de ta part un semblant de déviation dans ton esclavage. Tu sembles avoir pris aujourd’hui, d’après Lui, des libertés inacceptables. Cette sorte de vedettariat qui était le tien auprès des gardians l’a particulièrement agacé par le fait que la nuit dernière par exemple, tu les as tous épuisé en leur vidant abondement les couilles alors que toi, au petit matin, tu semblais être encore toute fraîche, insatiable de sexe et un air de victoire et d’insolence se dessinait sur ton regard victorieux toute cette journée surtout lors de la balade à cheval où tu as gardé la tête haute devant les cavaliers tous à ta suite avec leurs yeux quasi admiratifs envers toi...
    
    Je n’étais pas encore penchée sur le lit et j’allais répondre quand, très brutalement je reçus deux allers-retours en plein visage qui me ...
    ... firent tomber à terre. Souffle coupé, je mis quelques secondes à comprendre ce qui m’arrivait. Walter, sans un mot, de son doigt me désignait le lit.
    
    - Que crois-tu que tu sois, petite salope, la reine de la journée ?, parce que tu as réussi à contenter toute une nuit une bande de cavaliers en rut ? Tu n’es qu’une femelle, ne l’oublie jamais !
    
    - Oui Monsieur Walter, pardon !
    
    - Pardon ? Tu n’imagines pas qu’il te suffise de dire Pardon pour l’être ! Les femelles comme toi doivent être dressées et punie, c’est la Loi du Maître.
    
    Le Majordome sortait de son sac, une cravache, et il commença de me labourer l’arrière-train, mais si fortement, que j’eux la nette impression, pour la première fois, de ne pas résister… Les coups tombaient si forts qu’à chaque coup reçu, j’avais la sensation d’avoir la fesse coupée en deux, ou les cuisses… Je ne puis dire combien je reçus de coups mais alors que j’allais m’évanouir, Walter jeta sa cravache. Je souffrais tellement que je me mis à trembler fortement, si violemment qu’il s’en rendit compte…
    
    - Ça va ? me demanda-t-il ?
    
    Pas de réponse tant j’avais mal, très mal, mais je ne lui en voulais pas et en plus, je comprenais bien que Maître avait bien senti que j’en profitais d’avoir réussi à vider les couilles des hommes du Manadier et que j’en faisais un péché d’orgueil, ors une esclave n’a pas à avoir d’orgueil ni d’insolence…..
    
    - Réponds-moi, ça va ?
    
    - Oui, Monsieur Walter, ca…..va……(en fait, ça n’allait pas du tout)
    
    - ...