1. la co lègue tapine


    Datte: 27/06/2018, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... apparence de vie bourgeoise et sereine. Cela n'était qu'une comédie et un tissu de mensonges.
    
    Il ne comprit pas au départ où elle voulait en venir. Elle lui expliquât que son mari avait une affaire qui avait manqué plus d'une fois de finir en faillite. Elle s'était exilée sur Paris pour ce bon emploi et salaire. Du moins avait-elle assuré à son mari qu'elle l'aiderait à le renflouer. Ainsi lui croyait-il un poste éminent dans notre boîte. Elle ne pouvait que de cette façon lui justifier les sommes importantes qu'elle lui adressait. C'est à ce moment que la vérité atroce et singulière fit son chemin dans l'esprit candide du Fredo. Moi-même en vins-je à comprendre que cette garce se prostituait.
    
    Elle se gardait cependant de faire cela sur le lieu du travail et avec les collègues. Elle en usait comme de nombreuses avec Internet mais le plus simple fut de recourir aux services d'une amie rencontrée aux galeries La Fayette. Celle-ci était employée comme démonstratrice au rayon parfums. Elle lui expliqua qu'il était notoire que le soir certaines du magasin allassent écumer les bistrots alentour pour lever des mecs. Souvent après qu'un type l'eût dragué au rayon dans la journée elle lui donnait rencart plus tard dans le studio. Studio loué chaque soir par un certain Ahmed.
    
    Bref la copine ne proposa pas moins à notre collègue de s'associer car cette dernière lui avouait qu'elle ne répugnait pas à ce métier. Elle avait roulé sa bosse en province. Son mari n'avait rien su de ...
    ... son ancienne vie. Elle était de taille à recommencer ici à Paris pour s'en sortir. L’avantage du dispositif si je puis dire était que ledit Ahmed était une garantie de protection. Il pouvait manu militari évincer un importun. Cela constituait moins de danger que de sortir avec un type levé sur le net ou de tapiner seule dans un bois. Elle avoua qu'elle pouvait faire dix passes dans une soirée.
    
    Fredo passé le moment d'éberluement lui concéda que lui aussi n'avait pas à la juger. Au contraire il lui avoua de but en blanc qu'il voudrait bien être de ses pratiques. Les autres putains outre de baiser lui offraient peu de conversation et d'à côtés conviviaux. Bref il ne lui proposait pas moins de lui payer grassement deux heures chaque soir. Ainsi devinrent-ils amants ou plutôt convint-il nombre de soirs d'être le premier client. Il ne put s'empêcher de louer ses talents au lit. L’apparence ne mentait pas. C'était au pieu, un vrai volcan. Il en était envoûté au point de désespérer de son départ.
    
    Du jour au lendemain elle avait supplanté toutes les autres filles du quartier. Elle les résumait toutes. Le triste était qu'il se fut assez entiché d'elle au point d'en devenir jaloux. Même un moment il eut l'idée d'en faire sa maîtresse attitrée. Elle avec son esprit froid et objectif lui représentât toute le danger et le ridicule de cette idée. Il n'y aurait que des coups à prendre et de toute façon un tel couple ne pouvait pas avoir d'avenir. Cyniquement elle l'invitât à concevoir ...