1. la co lègue tapine


    Datte: 27/06/2018, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... furieux.
    
    L'ami Fredo m’attendait dans son bureau et de pied ferme si je puis dire. Me coupant la parole et me pointant du doigt, il m'abjura d'abord de n'en rien dire à sa femme ni à quiconque. Je n'eus pas de mal à le rassurer sur ce plan-là. Ce n'était pas mon genre d'aller moucharder et calomnier. Je n'en étais pas moins estomaqué de la comédie qu'il nous infligeait régulièrement de son couple marié et harmonieux se vouant en exemple aux autres. Il convint de sa tartuferie mais affirma que seule sa femme était en cause. En gros sa belle famille était traditionnelle et bourgeoise. Cette vie l’étouffait.
    
    Je n'étais pas au bout de mes peines. Il en vint aux confidences. J'eus bientôt un benêt devant moi s'épanchant et m’infligeant ses jérémiades de pauvre type. Je n'étais guère venu pour cela. En effet quasi tous les mecs dont moi eurent pu faire à l'instant le même numéro looser. Je savais à cet égard ne pas valoir mieux que lui. Or ce qui m'intéressait était la façon dont il avait pu suborner la collègue moi qui la croyait inaccessible. A mon étonnement il aborda le chapitre de la prostitution et sur le fait qu'il traînait certains soirs près de la rue Blondel. Je découvrais tout le sordide de sa vie.
    
    Il me disait qu'il aurait pu tout autant entrer dans un bistrot et boire à plus que n'en avoir de soif. Il y avait cependant renoncé car l'ivresse rentrant chez lui l'eût trahi au lieu que monter avec une pute était plus facile à dissimuler. Cela devint une ...
    ... habitude. Il lui importait peu d'y laisser pas mal de fric. Goguenard il disait que d'une certaine façon c'était le beau père qui payait, façon de se venger de celui-ci. Bref me déblatérant tout cela je ne voyais point le rapport avec la collègue et le lui signifiais bientôt. « Tu t'égares lui dis-je. Qu'est ce qu’elle vient foutre là-dedans ?» Il eût l'air triste.
    
    Il me dit qu'un soir lors d'un pot de départ d'un collègue alors qu'il était déjà éméché, il s'en était ouvert à la collègue car celle-ci s'était émue de son désarroi ne comprenant point celui-ci eu égard à la vie si heureuse en couple qu'elle lui croyait. Ainsi lui déballât-il tout jusqu'à lui raconter ses errances de vice près de la rue St Denis. Elle n'en crut pas ses oreilles et se le fit répéter plusieurs fois. Elle fit montre ce soir-là d'une compréhension toute maternelle. Elle lui expliqua que nombre d'hommes faisait comme lui et en usait ainsi pour maintenir à flot leur couple et leur vie de famille.
    
    Ainsi devint-elle les jours suivants plus qu'une amie, une confidente. Puis un soir elle lui avoua qu'elle-même serait malintentionnée de lui reprocher ses dérives et ses vices. Elle se savait la proie du mépris des autres femmes et c'était mérité. En effet elle n'était pas une sainte. Elle avait déchu de son piédestal depuis longtemps avant même qu’elle ne vint ici travailler. Elle allait rejoindre sous peu un mari qu’elle n'aimait pas. Elle aussi à l'égard de tous ses amis et des deux familles affichait une ...
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