1. Prise devant mon mec (2)


    Datte: 25/06/2018, Catégories: Hétéro Auteur: donico, Source: Xstory

    ... avec plus de conviction la giclée que j’avais à peine entamée, mais j’ai peiné à l’avaler quand elle s’est retrouvée dans ma bouche. Pourrais-je tout absorber, alors que cette première lapée me dégouttait déjà autant ?
    
    Je tenais son membre du bout des doigts, dégoûtée par cette énorme masse de chair brûlante, veineuse, si dure qu’elle me semblait dangereuse… Je me suis approchée doucement, puis j’ai pris le gland de Nabil entre mes lèvres.
    
    C’était pire que tout ce que j’avais pu imaginer, moi qui m’imaginais déjà le pire. L’odeur était âcre, aussi obsédante que déplaisante. Le sperme qui lui maculait encore le sexe était suffisamment abondant et gluant pour me dégoutter au plus haut point. Je n’avais pourtant pas besoin de ça !
    
    Le fait même de sucer un homme, à genoux devant lui, me répugnait. C’est pour ça que je ne l’avais jamais accepté avec Hugo, qui est pourtant tellement gentil avec moi. Alors avec Nabil ! Mais lui avait pourtant réussi à obtenir ce qu’il voulait de moi en seulement deux petits jours…
    
    Je lui ai donc bien « nettoyé » ...
    ... la verge, comme il me le demandait, en avalant tout puisque je ne savais pas quoi en faire d’autre. Pendant que je m’appliquais docilement, pour ne pas dire servilement, il me caressait doucement les cheveux, en un geste qui aurait presque pu paraître tendre, mais qui m’évoquait plus la récompense qu’on offrirait à un chien obéissant.
    
    Quand enfin ce fut fini, Nabil s’est rhabillé et est sorti en me conseillant de me dépêcher. Paniquée, je me suis rendu compte que j’étais encore maculée de sperme… Je me suis précipitée dans les toilettes pour voir si, malgré tout, il n’y avait pas quelque chose pour m’essuyer.
    
    Je suis restée bêtement scotchée devant l’entrée de la première cabine : le rouleau de papier toilette était bien en place, et presque plein ! Le salaud…
    
    Je me suis essuyée à la hâte et je suis retournée travailler, la peur au ventre. Heureusement, personne ne m’a fait de remarque ni n’a dit quoi que ce soit sur notre longue absence. Seul Nabil a lâché un commentaire quand je suis revenue m’asseoir à côté de lui :
    
    — Vivement demain… 
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