Prise devant mon mec (2)
Datte: 25/06/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: donico, Source: Xstory
Il m’a guidé jusqu’aux toilettes, où je l’ai suivi docilement. Pourtant, sa destination corroborait mes pires craintes ! Il a pénétré dans une cabine, mais cette fois je ne l’ai pas accompagné. Que voulait-il que nous fassions, tous les deux dans une cabine ?
— Viens juste deux minutes Alexia. Il faut qu’on parle au calme, tu crois pas ?
J’ai hoché la tête de gauche à droite, trouvant enfin la force de lui résister. Je n’étais pourtant pas encore tirée d’affaire, puisqu’il a sorti sa bite de nouveau, qui était plus longue et dure que jamais.
— Regarde dans quel état tu m’as mis ! s’est-il défendu.
— Je suis désolée.
Ma voix était si gênée et timide qu’elle était à peine audible.
— Je veux bien que tu sois désolée, mais tu peux pas me laisser comme ça !
Il a alors de nouveau pris ma main dans la sienne, puis il l’a posée sur son sexe. Là encore, je me suis contentée de regarder de tous côtés, paniquée à l’idée que quelqu’un puisse nous voir.
— Va-y, branle-moi ! m’a-t-il ordonné en soupirant déjà de plaisir. Je ne peux pas retourner comme ça au boulot, il faut que je dégonfle.
— Mais je ne peux pas…
Je ne savais même pas comment finir ma phrase, prude que j’étais. Et puis qu’est-ce que je voulais dire au fond ? Que je ne pouvais pas le faire jouir ? Mais n’avais-je pas provoqué son érection en le laissant faire ? J’étais désolée du malentendu, je ne voulais absolument pas que naisse une relation de nature sexuelle entre nous.
Je voulais lui ...
... faire remarquer, lui dire que j’étais désolée mais que je ne voulais pas aller plus loin, mais il semblait trop emporté par son désir pour m’écouter. Si je voulais avoir une discussion posée avec lui, il faudrait peut-être effectivement qu’il « dégonfle » avant. Mais je ne pouvais quand même pas le masturber !
— Dépêche-toi, imagine si quelqu’un arrivait… a-t-il insisté.
Ses paroles m’ont fait paniquer. Il avait raison : que se passerait-il si quelqu’un arrivait maintenant ? De quoi j’aurais l’air ? Il fallait que je mette les choses au point tout de suite, je devais stopper cette situation malsaine.
J’ai donc lâché sa bite, que je tenais de toute façon un peu malgré moi puisque sa main tenait toujours la mienne. J’ai ouvert la bouche pour parler, mais je n’ai pas su trouver les mots pour dire quoi que ce soit.
— Qu’est-ce que tu fais ? m’a-t-il demandé, le regard lourd de reproches.
— Je… Je ne sais pas si on peut…
Je me suis détestée pour cette maigre insurrection. « Envoie-le chier ! », me suis-je ordonnée. Mais j’en étais incapable.
— Alexia, tu ne vas pas tout arrêter au milieu quand même ? Ce serait vraiment pas cool…
Il a repris ma main et l’a posé de nouveau sur sa bite.
— Va-y bébé, branle-moi bien. Dépêche-toi avant qu’on nous trouve…
La panique m’a gagnée de nouveau, mais je n’ai pas osé tout arrêter maintenant. Il avait peut-être raison après tout : je n’avais pas le droit de stopper les choses au milieu du gué. J’aurais dû le faire bien ...