1. Prise devant mon mec (2)


    Datte: 25/06/2018, Catégories: Hétéro Auteur: donico, Source: Xstory

    ... avant, voilà tout. Maintenant je devais le faire jouir rapidement, avec ma main, puis nous aurons une conversation qui mettrait fin à tout.
    
    Ce ne serait pas tromper Hugo, n’est-ce pas ? Je ne voulais même pas vraiment ce qui arrivait !
    
    Cette idée en tête, j’ai cédé à ses avances et je l’ai masturbé de mon plein gré. Ma main allait et venait le long de sa bite, il soupirait de plus en plus fort. Il a posé ses mains sur mes épaules, puis il a fait glisser les bretelles de ma robe. J’ai essayé de les retenir mais il m’a seulement dit :
    
    — T’arrête pas bébé…
    
    Il a continué à faire descendre ma robe, si bien que je me suis retrouvée avec le soutien-gorge apparent. Il a tenté de le déboutonner, mais j’ai de nouveau essayé de résister. Je n’allais tout de même pas me retrouver à moitié nue devant lui, il fallait que je mette au moins un point d’arrêt !
    
    Mais il a de nouveau repoussé ma main en lâchant seulement un « chuuut » paternaliste, puis il l’a défait. Il l’a ensuite fait tomber à mes pieds, sans oublier de siffler d’admiration devant ma poitrine.
    
    — Putain t’as des supers beaux nichons ! m’a-t-il dit en les attrapant à pleines mains.
    
    J’ai encore essayé de le repousser, mais il ne semblait pas comprendre.
    
    — Qu’est-ce que tu fais ? m’a-t-il réprimandé. Je peux bien te caresser un peu les seins, depuis le temps que tu les agites sous mon nez !
    
    Là encore, la culpabilité m’a fait céder. Il arrivait à me convaincre que j’étais coupable de son désir, et je ...
    ... me demandais s’il n’avait pas raison. Et puis au point où j’en étais, le mieux était sans doute que je le fasse jouir le plus vite possible, je pourrais plus facilement le raisonner ensuite.
    
    Mais vis-à-vis d’Hugo, avais-je le droit de masturber un collègue qui me caressait la poitrine à pleines mains ? Bien sûr que non ! Sauf que, sidérée et dépassée par la situation, je me disais que j’aurais dû y mettre fin plus tôt et qu’il était désormais trop tard. Et aussi, même si je ne me l’avouais pas vraiment, Nabil m’attirait beaucoup...
    
    Il a commencé à haleter de plus en plus fort pendant que je me posais encore un milliard de questions. J’ai bien compris qu’il n’allait pas tarder à jouir, surtout qu’il n’était pas du genre à cacher son plaisir, malgré le lieu où nous nous trouvions. Il fallait que j’en finisse au plus vite avant que quelqu’un nous voie !
    
    — Ah putain Alexia c’est trop bon… a-t-il lâché en continuant à me malaxer les seins sans tendresse. T’es vraiment une sacrée cochonne, toi !
    
    Ses remarques me déchiraient le cœur. Non je n’étais pas comme ça, je n’avais juste pas su dire non à temps ! Que dirait Hugo s’il me voyait maintenant ? Il me quitterait, probablement. Et tous les autres, mes amis, ma famille ? Ce n’était pas moi ça !
    
    Nabil me pressait les seins à me faire mal maintenant. Tout à son plaisir, il n’avait plus aucune pensée pour moi, hormis bien sûr les sensations que je pouvais lui procurer.
    
    — Mets-toi à genoux… comme une chienne…
    
    — Non ...