Sur les bords de l'Ardèche
Datte: 25/06/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
vacances,
pénétration,
Oral
jouet,
Auteur: Annialex, Source: Revebebe
... désir de Charles. J’ai gardé un temps les yeux fermés pour mieux apprécier la douceur de ses caresses et les surprises de ses attouchements.
J’ai entendu Agnès rentrer dans le bungalow et j’ai cru, juste un moment, qu’elle voulait nous laisser seuls. Quand elle est revenue, j’ai compris au contraire par sa présence volontaire qu’elle était décidée à participer à nos ébats et je n’en étais pas fâchée. Elle s’était faite complice de mes plaisirs en m’encourageant à les assumer sans réticence, et sa présence me rassurait, sentiment incongru car je n’avais aucunement besoin d’être rassurée par ce qui allait advenir, car la suite je la désirais intensément. Ma seule appréhension était que cette transgression ne m’apporte pas toute la jouissance que j’en attendais. Quand il m’arrivait de penser au plaisir que je ressentirais avec un autre homme, mon imagination me transportait à cet instant-là, cet indicible moment de l’attente du premier contact charnel avec un corps masculin, cette incomparable sensation de connaître de multiples émotions nouvelles avec un inconnu.
Il a continué de passer ses deux mains sur mon ventre et mon pubis, progressant lentement jusqu’à écarter les lèvres de mon sexe et venir titiller mon clitoris. Le roulis de mon bassin a accompagné ses caresses qui se sont faites de plus en plus intrusives. J’ai senti ma vulve massée sur toute sa largeur, ses doigts s’enfoncer progressivement dans mon vagin et venir, par des attouchements légers, y stimuler les ...
... zones les plus sensibles. Cambrée au maximum, j’ai offert à Charles la profondeur de mon vagin si dilaté qu’il a pu y glisser plusieurs doigts serrés loin dans mon ventre, tout en continuant à masturber mon clitoris avec son pouce.
C’était un amant talentueux et expérimenté. Il a arrêté de me caresser le sexe quand il a senti que je pouvais jouir d’un moment à l’autre et m’a dit dans un souffle :
— J’ai beaucoup mieux pour te faire jouir… C’est plus gros, plus long et plus doux.
J’ai entendu Agnès parler à Charles, mais j’étais dans un tel état d’attente de plaisirs plus intenses et plus profonds que je ne pouvais comprendre ce qu’ils se disaient. J’ai avancé une main vers Charles ; j’ai effleuré son flanc, sa hanche, sa cuisse, et quand j’ai touché son sexe raide et massif, j’ai ouvert les yeux et j’ai vu que la première goutte de semence perlait à l’orifice de son gland. Son phallus avait l’odeur âcre de l’amour. J’ai voulu le goûter.
Je me suis tournée vers lui et j’ai embouché sa queue ; je l’ai malaxée, stimulée du bout de ma langue. Ce contact avec sa chair la plus secrète a été ma première profanation, le viol d’un tabou que j’ai transgressé avec un incomparable plaisir et qui m’a plongée dans un monde de sensations où les exigences de mon corps allaient me permettre tous les excès et toutes les impudeurs.
Il s’est relevé, m’a chevauchée, et à genoux, à califourchon sur ma poitrine, il a soulevé ma tête pour m’amener à emboucher à nouveau sa queue. Il m’a ...