1. Sur les bords de l'Ardèche


    Datte: 25/06/2018, Catégories: fh, ffh, vacances, pénétration, Oral jouet, Auteur: Annialex, Source: Revebebe

    ... parlé. Des paroles voluptueuses, impudiques, obscènes, à l’image de ce phallus majestueux dont la simple vue a chassé mes quelques restes de pudeur pour une audace des mots dont je ne me serais jamais cru capable.
    
    — Tu aimes sucer ma queue ?
    — Oui…
    — Pourquoi ?
    — Elle sent l’homme… elle est grosse, comme j’aime.
    — Tu veux que je jouisse dans ta bouche ?
    — Oui, dans ma bouche… et dans ma chatte.
    — Il faut choisir.
    — J’aurais voulu les deux… avec un autre beau mâle… et une queue aussi belle que la tienne.
    — Tu aurais dû venir avec Vincent. Je crois qu’il aurait apprécié, surtout avec la présence d’Agnès.
    
    L’audace de mon comportement et la crudité de mes paroles m’enivraient autant que les sensations qui traversaient mon corps.
    
    J’ai caressé sa tige de la pointe de ma langue. Il a gémi et a appuyé ses mains sur ma nuque pour faire entrer son gland le plus loin possible dans ma bouche.
    
    Son sexe vibrait entre ma langue et mon palais. Quand je libérais un peu la pression que j’exerçais sur sa verge, je la sentais tressauter, et prête à se vider dans ma bouche. Il m’a repoussée tendrement, en caressant ma chevelure et en embrassant avec douceur mes lèvres. Sa queue était à quelques centimètres de mon visage. Elle était belle : un cylindre de chair, lisse et régulier, le gland de couleur rose-violet débordant de la hampe. Je l’ai saisie. Il a gémi. J’ai compris qu’il voulait que je le masturbe. J’ai tiré la peau le plus possible vers le bas pour dégager ...
    ... complètement la chair sensible. Le phallus m’est apparu encore plus long et plus rigide, d’une verticalité conquérante.
    
    J’ai mis tout l’art et la technique que Vincent m’avais appris à satisfaire Charles, en m’interdisant le plaisir de le voir jouir sur mes seins, pour qu’il garde sa virilité intacte le plus longtemps possible. J’ai saisi la peau qui protège la hampe, et j’ai serré très fort la racine du pénis en imprimant à mon poignet des petits mouvements très rapides. Quand j’ai entendu ses soupirs plus forts et plus précipités, j’ai remonté ma main vers le gland en serrant fort pour voir apparaître à nouveau une petite perle de sperme que j’ai nettoyée du bout de la langue. Il s’est mis debout, exhibant son phallus tonique et gorgé de sève, si rigide qu’il était presque collé à son ventre… J’ai vu alors entre ses jambes écartées Agnès, agenouillée entre mes cuisses, qui a introduit un objet oblong dans mon vagin, comme une réponse au souhait que je venais de formuler. J’avais eu l’occasion de découvrir sur des publicités des sextoys de ce type, mais jamais ni moi ni Vincent n’avions utilisé ce genre d’objet au cours de nos ébats.
    
    À la surprise s’est substitué un plaisir inconnu. L’objet vibrait, stimulant le moindre millimètre de mon vagin. J’étais fascinée par la vue de cette pénétration et par le talent d’Agnès, qui savait merveilleusement manier ce godemiché, faisant varier l’intensité et le rythme des vibrations. Ces émotions intenses ont accompagné et accéléré celles que ...
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