Sur les bords de l'Ardèche
Datte: 25/06/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
vacances,
pénétration,
Oral
jouet,
Auteur: Annialex, Source: Revebebe
... imaginant – et surtout en souhaitant – que Charles soit aussi, et même plus, entreprenant que lors de la soirée où il m’avait embrassée. Il l’avait probablement deviné, car je percevais par ses intonations et sa voix de plus en plus rauque qu’il avait envie d’aller beaucoup plus loin. J’ai vu son boxer-short déformé par la bosse de son érection, qu’il ne cherchait nullement à dissimuler. Les émotions multiples qui ont commencé à m’assaillir étaient si intenses que je n’ai eu ni l’envie ni aucune raison de me montrer réticente. La tentation de faire l’amour avec Charles, cette pulsion en embuscade depuis quelques mois, ne demandait que cette circonstance favorable pour surgir de façon irrépressible. Et j’étais prête à m’y abandonner sans réserve ; mais il y avait Agnès !
Je me suis retournée et j’ai fermé les yeux. Jusqu’à ce moment, il ne s’agissait que d’un badinage assez audacieux ; mais dès que j’ai deviné que ce n’était plus Agnès, mais Charles qui étalait la crème sur mes épaules, mon estomac et mon ventre, j’ai été sûre qu’à ce badinage allait se substituer ce que je souhaitais ardemment. Clignant des yeux, et voyant Charles penché au-dessus de moi, j’ai su qu’il devenait le personnage de mes fantasmes, ici et maintenant. J’ai senti mon sexe exister comme un cœur qui bat, faisant couler dans mes veines le feu liquide d’un désir incontrôlable. Peut-être voulait-il par l’attente faire durer le plaisir, ou voulait-il l’assentiment d’Agnès avant de se décider à étaler ...
... de la crème sur ma poitrine et à me caresser les seins ? Moi, je n’en pouvais plus, et j’ai cherché à tâtons dans l’herbe et trouvé le tube de crème. J’en ai mis sur mes mamelons et je n’ai plus bougé, attendant que Charles continue de l’étaler, consciente que je venais de lui transmettre un message sans la moindre équivoque.
J’ai entendu au-dessus de moi sa respiration s’accélérer et j’ai senti ses mains caresser tendrement mes seins. Mes tétons se sont érigés, mon ventre est devenu lourd, et j’ai senti mon sexe de plus en plus imprégné de l’humidité de mon désir. Puis tout mon corps a été caressé et, répondant à Charles, je me suis cambrée, offrant à ses regards et à ses mains la protubérance de mon pubis de la façon la plus suggestive. Je n’ai pas pu réfréner un gémissement lorsque j’ai senti ses doigts venir sous mon slip mettre un délicieux désordre dans ma toison. Je ne pouvais plus discipliner les halètements de ma respiration et, ouvrant les yeux, j’ai vu Agnès attentive et souriante qui s’est penchée vers moi et m’a murmuré :
— Il n’y a qu’une seule issue possible : lâche-toi complètement.
— Mais… Vincent… et toi ?
— Nous n’en sommes plus là. En ce moment, tu n’es qu’une femme, rien qu’une femme qui a envie d’un homme. Ne t’occupe pas de moi. Occupe-toi de toi. Je vais seulement vous aider un peu, histoire de participer.
Agnès s’est levée et j’ai senti qu’elle enlevait mon slip. Je me suis trouvée intégralement nue et voluptueusement nue, offerte enfin au ...