La rencontre inattendue
Datte: 24/06/2018,
Catégories:
ff,
inconnu,
magasin,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
noculotte,
odeurs,
intermast,
lettre,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... des poses érotiques, vêtues, le plus souvent, de leurs seules bottes, jambes plus ou moins écartées, corps cambrés, contorsionnés. Des sofas, des banquettes sont dispersés dans cet espace aux lumières tamisées, au sol couvert d’une moquette épaisse.
— Madame souhaite-t-elle regarder nos collections, te dis-je, la main caressant ton bras, ou préfère-t-elle s’installer ? Mais Madame appréciera sans doute notre verre de bienvenue ?
Le salon privé me surprend un peu, mais les photos sont superbes et les filles ont des corps magnifiques, je t’en fais compliment et m’extasie sur les modèles de bottes exposées et celles qui les portent.
Je prétexte être encore trop fatiguée pour passer directement à l’essayage et je te demande s’il m’est possible de retirer ma robe pour continuer cette relaxation que tu m’as proposée…
J’ajoute « et si bien commencée », en te souriant les yeux dans les yeux.
— Mais ce verre sera aussi le bienvenu, si nous le partageons ensemble bien entendu, Mademoiselle… ? Moi, c’est Chantal, votre future cliente fidèle, et, j’espère, peut-être une amie ?
— Et moi Sophie. Pour vous servir, Madame, ou, si tu préfères, pour te servir, Chantal…
Je te rends un regard tout aussi appuyé en prenant ta main d’un geste qui tient plus de la caresse que du salut.
— C’est vrai que nos clientes deviennent souvent nos amies et reviennent d’autant plus nous voir… pas nécessairement par envie d’un nouvel achat… te dis-je en t’aidant à retirer ta robe.
Un ...
... prétexte pour permettre à mes mains de te frôler sur les hanches, au creux des reins, sur tes seins si peu couverts que, je m’en rends bien compte, tu frémis de plaisir sous mes doigts.
Je prends la main douce que tu me tends et la garde quelques instants dans la mienne pour caresser légèrement ta peau du bout de mes doigts.
— J’en serais ravie Sophie, oui, tutoyons-nous.
Je souris en me laissant dépouiller de bonne grâce de ma robe, sans refuser les savants attouchements qui excitent ma poitrine et mon ventre.
— Entre amies, c’est tellement plus intime…
Je te laisse un instant, le temps de remplir nos deux verres et de déboutonner rapidement les pans de mon chemisier. Je te retrouve assise sur le canapé. Je me laisse glisser à genoux devant toi en te tendant ton verre.
— Attends que je dégrafe ton soutien-gorge, tu respireras mieux, Chantal, dis-je en joignant le geste caressant à la parole.
Assise sur le canapé, je témoigne de ma confiance dans notre… intimité, en ouvrant largement mes cuisses pour te permettre de t’installer plus commodément face à mon pubis toujours couvert, mais si peu, par le haut des collants. À travers mes paupières mi-closes je vois ta bouche s’entrouvrir et le bout rose vif de ta langue humidifier rapidement tes lèvres pendant que tu regardes sans t’en cacher les tétons qui pointent, nus maintenant, sur mes larges aréoles aux bouts de mes seins lourds privés de leur soutien de dentelle.
Ton visage est si proche, tout près de ...