1. La rencontre inattendue


    Datte: 24/06/2018, Catégories: ff, inconnu, magasin, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, odeurs, intermast, lettre, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... silhouette encore jeune, ma foi ; cheveux châtain clair, coiffure sans chichi ; une courte robe ajustée, de celles dont la finesse impose un soutien-gorge léger ; dessous, juste un collant. Un petit geste pour rectifier une mèche, et hop, allons-y ! Je n’ai pas de choix défini, nous verrons sur place.
    
    Je suis vendeuse dans cette boutique de chaussures pour femmes. Tu pousses la porte et entres dans la boutique. Tu es grande et svelte, bien moulée du haut et du bas ; rien qu’à te voir, mon corps est saisi de frémissements et je sens le bout de mes seins durcir. Je m’approche, vêtue de ma minijupe, de mes talons aiguille et de mon chemisier très échancré, dégageant largement ma poitrine.
    
    — Bonjour Madame, si vous voulez essayer un de nos modèles, vous pouvez me suivre pour vous installer, te dis-je en t’entraînant dans un angle luxueux, mais en retrait, du magasin.
    
    Je te remercie, ravie de cet accueil souriant autant que charmant, et te suis vers l’espace douillet où tu me conduis. Tes fesses bougent devant moi à chaque pas qui fait onduler tes hanches et risque de relever ta minijupe plus haut que la décence ne l’autorise en public. Instinctivement, je me rapproche dans le but honorable de cacher aux autres clientes l’éventualité d’une incongruité indiscrète mais qu’au fond de moi-même je me prends à espérer. L’idée me réchauffe le cœur, m’amuse et me séduit, au point que sous ma robe très bon chic-bon genre je sens sourdre un picotement délicieux au creux de mes ...
    ... collants portés à même la peau.
    
    Mes pensées me troublent l’esprit sans doute, car inattentive à ma proximité je ne m’aperçois pas que tu t’es arrêtée pour me désigner un siège où me poser. Mon ventre s’appuie indiscrètement sur tes fesses dont la fermeté sur mon pubis me ramène à la réalité. Je me confonds en excuses, mi soulagée, mi charmée que tu m’adresses un « Oh, je vous en prie, Madame, il n’y a aucun mal. » Ai-je rêvé ou as-tu effectivement appuyé sur le mot "aucun" en me souriant ?
    
    Je m’installe dans le fauteuil que tu me proposes et qui pour confortable qu’il soit me semble un petit peu trop bas pour un siège d’essayage de chaussures. Je ramène le bas de ma robe sur mes cuisses en gardant les genoux serrés, comme il se doit, mais en tendant une cheville mutine vers toi. À mon tour je t’offre mon plus beau sourire :
    
    — Voilà, Mademoiselle, je suis toute à vous ! Qu’avez-vous de plus joli à me montrer ?
    — Mais j’ai toute ma collection de chaussures à vous montrer, te dis-je en m’accroupissant devant toi et en prenant délicatement ton pied entre mes mains.
    — Oh, vous avez un très beau pied, Madame, avec une cambrure parfaite. J’ai des modèles qui devraient tout particulièrement vous aller.
    
    Ta position me révèle soudain une vue ravissante sur ta poitrine que je devine libre dans l’échancrure du chemisier. La chaleur augmente dans mon ventre et je sens mes joues rosir lorsque tes mains dégagent délicatement mes pieds moites. Tes doigts crissent doucement sur le ...
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