1. Marlène (chapitre 8)


    Datte: 17/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... qu’il touchait. Il remonta vers le haut des cuisses, puis vers le ventre, sans approcher de son sexe. Il jeta ses deux branches d’orties et en prit deux nouvelles. Il se mit alors à la fouetter avec, méthodiquement, des mollets aux aisselles, mais en évitant soigneusement la poitrine et le sexe. 
    
    Marlène pleurait. Chaque centimètre carré de sa peau était en feu. De petites taches blanches apparaissaient partout sur son corps. Il reprit deux nouvelles branches et cette fois, frappa les seins et le sexe. Les piqûres sur ces peaux tendres étaient terriblement douloureuses. Marlène se mit à crier. Il la détacha, rapidement.
    
    « A plat ventre! En vitesse! » jeta t-il.
    
    Elle se retourna rapidement, malgré la douleur. Il ne prit même pas la peine de la rattacher. « Ne bouge pas! » lui cria t-il.
    
    Il reprit deux nouvelles branches et lui frappa les plantes des pieds, les mollets, puis l’arrière des cuisses et les fesses. Il consacra les deux suivantes à couvrir le dos de piqures. Il n’en restait que deux. Marlène sanglotait.
    
    « Remets-toi sur le dos! Tout de suite! » 
    
    Elle obéit encore, comme dans un état second. Il l’attacha très serrée. Les pieds, les mains, des sangles au-dessus des cuisses, des genoux, une large sangle à la taille et sous les seins, des sangles sur le haut des bras, près des épaules. Elle ne pouvait pas bouger d’un centimètre.
    
    Il prit une branche d’ortie et en arracha une feuille. Il la frotta sur toute la surface de l’aréole du sein gauche, ...
    ... puis une deuxième feuille sur le même endroit. Marlène poussait des hurlements et ruait dans ses liens. Il fit de même sur le sein droit, puis, pour terminer, les petites lèvres, à l’intérieur et à l’extérieur, l’entrée du vagin, l’anus et le clitoris, chaque fois avec de nouvelles feuilles.
    
    La douleur était intolérable. Les peaux tendres et les muqueuses étaient en feu. La peau de tout son corps n’était plus qu’une piqûre. Elle hurlait et se débattait de toutes ses forces mais les liens ne lui permettaient pas le moindre mouvement.
    
    Il commença à la détacher, en commençant par la taille, puis les genoux, les cuisses, les bras et les pieds. Avant de lui détacher les mains, il l’avertit « Interdiction formelle de toucher les piqûres avec tes mains. Mets les mains sur la tête. La deuxième punition est reportée à demain matin au réveil. »
    
    Détachée, elle se remit debout en grimaçant. Puis elle s’agenouilla devant lui et récita « Je vous demande pardon pour ma faute, Monsieur, et je vous remercie pour ma punition. »
    
    « Va au salon et place-toi en position numéro 1, face au divan » 
    
    Elle claudiqua jusqu’au salon, en sanglotant doucement. En plus des piqûres sur tout le corps, celles de la plante des pieds la faisaient particulièrement souffrir, pour marcher. Elle arriva néanmoins à se mettre en place. Il s’assit face à elle et la contempla. Son corps était presque entièrement couvert de petites vacuoles blanches et son visage était noyé de larmes.
    
    « Écarte les jambes ...
«1234...15»