Marlène (chapitre 7) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 7)

... Chine, elle étaient fabriquées dans des pierre semi-précieuse, comme le jade. Elles étaient creuses et contenaient une bille métallique qui se déplaçait à l’intérieur au rythme des mouvements de la femme qui les portait. Les vibrations générées par ces déplacements se transmettaient à la paroi vaginale, maintenant l’utilisatrice dans un état d’excitation permanent. »

Évidemment, en cinq siècles, on a fait des progrès technologiques, qui permettent d’obtenir le même résultat mais sans devoir bouger. Comme ceci, par exemple.

Il avait sorti son téléphone et ouvert une application sur l’écran, mais elle ne pouvait rien voir. Il toucha l’écran et Marlène sentit l’appareil se mettre à vibrer en elle. D’abord surprise, elle sursauta, puis rapidement sentit une douce chaleur envahir son ventre et des ondes de plaisir l’envahir. Elle sentait son souffle s’accélérer et commença à se tortiller sur sa chaise. Il la rappela à l’ordre.  « Arrête de gigoter. Concentre-toi. Voilà le maître d’hôtel »

Elle se mordit les lèvres, s’efforça de rester immobile et de ne rien laisser paraître tout le temps où l’homme disposait les assiettes sur la table. Il remarqua le boîtier ouvert sur la table, vide, et sourit. Marlène baissa les yeux et rougit. Il s’éloigna en leur souhaitant bon appétit.

Elle commençait tout doucement à reprendre le contrôle ses sens, même si elle sentait son ventre fondre et inonder sa chaise. Des vagues de plaisir lui remontaient jusqu’à la poitrine. Comment ...

... allait-elle tenir le coup si cela se prolongeait? Elle allait jouir et crier dans le restaurant. Elle lui lança un regard suppliant, en faisant non de la tête. Il la fixa longuement, puis d’un clic sur son téléphone, arrêta la vibration. Il n’avait pas non plus envie de créer un incident, voire un scandale, dans le restaurant. 

Il lui prit la main, doucement. Mange ton entrée, lui dit-il. Tu as toujours ce problème de self-contrôle mais nous allons travailler là-dessus.

Elle reprenait son souffle. Les sensations dans le bas de son corps s’apaisaient mais l’objet était toujours là, en elle, comme une menace, ou comme une promesse. Mais elle avait faim et mangea de bon appétit. Son rythme cardiaque était revenu à la normale et elle recommença à se détendre.

Le reste du repas se déroula sans autre incident. Il lui parlait en lui tenant la main, la faisait parler d’elle, aussi. Il lui demanda comment elle avait ressenti les épreuves des deux derniers jours, comment elle se sentait face à sa nouvelle image, à son nouveau rôle de soumise. Il lui demanda ensuite de classer par ordre croissant de difficulté les moments où elle avait été exhibée nue, face à des étrangers, puis les moments qui lui avaient procuré le plaisir le plus intense et enfin, la fit parler des punitions reçues et de son ressenti par rapport à celles-ci.

Elle lui répondait calmement, hésitant parfois ou cherchant à remettre de l’ordre dans  ses souvenirs. Elle avait vécu tant de choses en 48 heures, fait ...