1. Marlène (chapitre 7)


    Datte: 15/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... Tu es extraordinaire. Tu es la compagne que je cherche depuis des années.
    
    Elle était au comble du bonheur. Ses mots coulaient en elle comme un torrent de miel. Il souriait. Il lui fit un clin d’œil et lui murmura « ils vécurent heureux et eurent beaucoup de petites soumises »
    
    La voix de l’homme la tira de ses rêveries. « Roland, emmène-la à la salle de bain et soigne-la convenablement. Ensuite, redescendez ensemble »
    Puis il se tourna vers Marlène. « Eh bien, ma douce, quelle soirée remplie d’émotions. Merci pour la leçon que tu as donnée à Marie-Agnès. Tu te révèles être une dominante redoutable, en plus d’une soumise docile. Ça te plaît le rôle de dominante? »
    
    Elle rougit « Oui, Monsieur, beaucoup. »
    
    Monsieur prit alors la parole. « Tu sais, Luc, si Marie-Agnès te pose des problèmes, j’ai une proposition à te faire. Prochaine incartade, tu me la mets en stage deux semaines à la maison. Aller-retours entre la cave, aux fers, bien sûr, et le donjon. Privations d’eau et de nourriture, privations de sommeil, rétentions d’urine, torture par l’eau, lavements forcés, sorties en extérieur, humiliations permanentes, en plus de toutes les techniques habituelles de dressage, au donjon. De plus, ça permettrait à Marlène de se familiariser avec les différents instruments, cravaches, fouets, pour pinces, orties, électrochocs et autres. Elle aura besoin d’un sujet pour acquérir de la pratique. Il y a des choses que l’on apprend pas dans les livres. Tout le monde serait ...
    ... gagnant..... Sauf Marie-Agnès, bien entendu. Bien sûr, vous serez les bienvenus à tout moment pour assister au dressage, seuls ou accompagnés, ou pour la sauter si l’envie vous prend. Qu’en penses-tu? Je te garantis qu’au bout de quinze jours, elle sera de nouveau docile comme un agneau. Ce n’est pas la première fois que j’applique ce programme à une soumise rétive. Il a fait ses preuves. 
    
    J’ai même poussé une fois une rebelle jusqu’à l’extrême. Privation d’eau et de nourriture pendant quatre jours. Six litres d’eau dans l’anus, puis pose d’un plug de 40 millimètres. Une heure à la faire marcher, courir, sautiller sur place, marcher à quatre pattes, à coups de cravache. La suspendre par les mains, jambes écartées, au dessus d’un grand bassin et retirer le plug. Récolter les six litres d’eau brune et nauséabonde, les filtrer grossièrement avec un tissu et les mettre dans des bouteilles. La remettre en cellule avec une bouteille et un verre. Je n’y croyais pas mais l’instinct primaire a repris le dessus. Elle a bu le contenu de la bouteille en cinq minutes. Matée. Et une heure plus tard elle en redemandait. Je l’ai fait attendre jusqu’au lendemain. Elle me suppliait pour avoir une autre bouteille. Quand je lui ai donnée, elle l’a bu d’une traite, au goulot. Elle n’a plus jamais posé de souci de rébellion à son maître depuis ce jour là.
    
    L’homme souriait, il semblait conquis. « Je vais y réfléchir. C’est vrai qu’une rupture avec son environnement habituel pourrait provoquer un ...