Marlène (chapitre 7)
Datte: 15/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... aucune faiblesse. Elle le regarda droit dans les yeux. « C’était très agréable, mais beaucoup trop court. Recommence, et prends ton temps. Tu recommenceras jusqu’à ce que je sois vraiment satisfaite. »
Elle se pencha et se remit au travail. Avec délicatesse, précision, marquant parfois de courtes pauses pour retarder l’orgasme. Marlène sentait en Marie-Agnès une véritable volonté de lui donner un maximum de plaisir, utilisant toutes les techniques qu’elle connaissait. Pas seulement par crainte d’une punition. Elle sentait que ses gestes lui procuraient aussi du plaisir. Elle désirait Marlène et voulait lui faire l’amour, lui démontrer qu’elle était une amante hors paire. Au bout de vingt minutes, celle-ci se laissa aller au plaisir, et cette fois poussa un véritable hurlement de plaisir.
« C’est très bien. Maintenant, tu vas déboutonner mon chemisier, demander pardon aux pointes de mes seins pour ce que tu leur a fait subir, et les embrasser doucement. Ta vas me donner du plaisir, avec ta bouche et tes mains si tu veux. Fais moi jouir par les seins. Je suis sûre que tu en est capable, tu es très douée. »
Marie-Agnès s’exécuta. Elle demanda pardon, tête baissée, une fois de plus, puis déposa délicatement un baiser sur chacun des mamelons. Puis commença à les lécher doucement, pendant que ses mains lui massait précautionneusement les seins. Les pointes étaient encore très douloureuses. Il fallut plusieurs minutes pour que le plaisir prenne le pas sur la sensation de ...
... brûlure qui lui remontait jusqu’à la gorge.
Mais la précision des caresses, ainsi que la chaleur et la douceur de ses gestes et de ses mains firent des miracles. Après quelques minutes, Marlène cria une troisième fois.
« Redresse-toi et remets-toi debout devant moi. »
Marie-Agnès s’exécuta. Marlène la contempla des pieds à la tête. Elle était couverte de marques de fouet, principalement sur les seins et les cuisses, et ses mamelons étaient boursouflés et presque noirs. Un filet de sang coulait du gauche.
« Tourne lentement sur toi-même, en gardant les jambes bien écartées. »
Elle lui laissa faire deux tours complets, puis lui ordonna de s’arrêter, face à elle.
« Alors, Marie-Agnès, tu as compris la leçon, cette fois? »
Ses lèvres tremblaient. Elle répondit « Oui, Madame. Merci, Madame. »
Son mari intervint à ce moment. « Eh bien, Marlène, penses-tu qu’elle aie
besoin d’une séance d’électrochocs? »
Marlène regarda Marie-Agnès, puis son mari. « Non, Monsieur, elle est épuisée. Elle a besoin que l’on désinfecte ses plaies et elle a besoin de repos. Elle l’a mérité. Elle a été docile et c’est une amoureuse extraordinaire. »
Marie-Agnès fondit en larmes. « Merci Madame. Merci Madame. Merci Madame. » répétait-elle, en tombant à genoux. « Je ne vous ferai jamais plus de mal, je vous le jure! »
Monsieur avait posé sa main sur la cuisse de Marlène. Il lui murmura « tu es une perle rare, une soumise parfaite et la fibre d’une dominante exceptionnelle. ...