Marlène (chapitre 6) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 6)

... échappé à la cire et à la pince. Ensuite il se mit à l’interroger, sur sa vie, sa sexualité, ses expériences. A chaque fois, elle répondait avec précision et comme inscrit dans les règles, terminait chaque réponse par « Monsieur »

Après cela il lui demanda de lui raconter ses dernières 48 heures et son entrée en soumission. Son visage était passé au rouge pivoine. Elle raconta sa première fois nue devant Monsieur, ses punitions, sa première expérience et son premier plaisir anal. Elle continua avec la soirée d’hier, attachée au lit et ses séances de masturbation devant lui, ce matin

Cela dura quelques minutes. Ensuite, il se leva et s’approcha d’elle. Ses doigts se posèrent sur la pointe de son sein gauche, puis ses mains enveloppèrent des deux seins. Il lui malmena les mamelons pendant une ou deux minutes avant de descendre jusqu’à son sexe et de la fouiller vigoureusement. Elle ne bougea pas d’un millimètre malgré la honte qu’elle ressentait d’être ainsi fouillée devant lui. 

Et ce fut lui qui y mit fin. « Bon, descends te rhabiller. Nous allons finir par être en retard chez le coiffeur. Demande à Marianne de te remettre les caches et les lunettes et attends-moi dans la boutique. »

Elle s’apprêtait à partir quand son ami intervint. « attends un instant. Place toi de dos, jambes écartées et penche-toi vers l’avant, mains sur la tête. »  il s’approcha alors d’elle par derrière et lui enfonça un, puis deux puis trois puis quatre doigts dans l’anus. Elle poussa un ...

... cri, d’abord de surprise, puis de douleur. Il poussa sa main encore plus loin, écartant ses doigts. Elle hurla de plus belle. Il retira sa main brusquement. Elle était en larmes. Elle avait dépassé ce qu’elle croyait être les limites de la honte et de l’humiliation. Elle se trompait lourdement.
« Eh bien dis donc, elle est vachement étroite du cul, ta pouliche. Tu aurais drôlement intérêt à la faire élargir, sinon tu vas au devant d’accidents, de déchirures et d’autres problèmes. Imagine Mamadou qui la prend par derrière maintenant. Elle est à l’hôpital pour deux semaines et hors service pour trois mois, ou définitivement. »

« Ne t’inquiète pas » répondit Monsieur « tout ça est planifié mais une chose à la fois. »

« A genoux, de face, cuisses ouvertes, mains derrière le dos! » ordonna brutalement l’homme. Elle obéit. Elle n’était plus à cela près. Dès qu’elle fut en place, il lui plaça devant la bouche la main qui avait forcé ses reins. Elle était couverte de coulées brunâtres, de quelques morceaux d’excréments coincés entre les doits et sous les ongles, ainsi que de petits filets de sang. 

« Allez! Nettoie moi ça comme il faut avec ta bouche et ta langue. Tu lèches, tu suces, tu fais tout ce que tu veux mais ça doit être impeccable. Et ne prends pas cet air dégoûté! Toute cette merde vient de toi, après tout. »

Elle n’avait pas le choix. Tout refus d’obéissance lui aurait valu une séance d’électrodes. Tout valait mieux que de devoir encore subir ça. Surmontant sa ...