1. Marlène (chapitre 5)


    Datte: 13/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... encore. 
    
    Elle avait l’impression que ça durait depuis une heure au moins quand, à travers ses larmes, elle le vit s’approcher. Il commença par détacher les poids de ses mamelons, puis il enleva les pinces. Elle hurla. Le pire avec les pinces, c’est vraiment le moment où on les enlève. Il fit de même pour les quatre pinces pendues à son sexe. Il lui détacha ensuite les pieds, et enfin les mains. Elle fit un effort surhumain pour rester debout et ne pas s’écrouler sur le sol. 
    
    « Position numéro 3. » Elle se plaça à genoux devant lui, genoux écartés, mains derrière le dos.
    
    « Maintenant, tu vas me demander pardon pour ta faute et me remercier pour ta punition. Tu devras faire cela après chaque punition. Si tu oublies, la punition sera recommencée. Répète après moi.  « Je vous demande pardon pour mon erreur, Monsieur, et je vous remercie pour ma punition » »
    
    Elle répéta docilement la phrase, en hoquetant entre ses sanglots. Il la laissa ensuite quelques minutes dans cette position, puis la remis debout. Il l’entraîna ensuite vers la chaise gynécologique et lui ordonna d’y prendre place. Il l’attacha avec des sangles au niveau du cou et de la taille, sous les seins et au dessus des genoux. Il attacha ensuite à des mousquetons les bracelets de ses poignets et de ses chevilles.
    
    Immobilisée, incapable de bouger ne fusse que de quelques millimètres, et sans même savoir ce qui l’attendait, elle fut prise d’une crise de panique incontrôlable. Elle rua dans ses liens et ...
    ... hurla de toutes ses forces. Il la regarda froidement et attendit qu’elle aie repris ses esprits. Le seul résultat tangible que Marlène obtint, ce fut un bâillon au fond de la bouche. C’était un bâillon boule, de forte taille, qui lui distendait la mâchoire et l’empêchait de respirer par la bouche. Ne plus pouvoir émettre un seul son ajouta encore à sa terreur. 
    
    Il s’éloigna quelques instants et revint avec sa caméra principale. Il fit alors des gros plans de ses mamelons, déformés par les pinces, puis de son sexe, dont les petites lèvres étaient gonflées et meurtries. Il prenait tout son temps, la laissant dans une attente sans objet. Quand il posa sa caméra, ce fut pour revenir s’assoir à côté d’elle. Il la regarda d’un œil moqueur, puis lui dit « Eh bien, ma belle, on s’énerve? Tu vas apprendre à tes dépends que ce genre de crises de nerfs est considéré comme de la rébellion et multiplie d’office la punition par deux. On est donc déjà à deux, donc, punition quadruplée.
    
    Elle s’égosillait dans son bâillon, terrorisée. « Non, Monsieur! Pardon, Monsieur! Je ne savais pas, Monsieur! Ça n’arrivera plus, Monsieur! Je vous le jure, Monsieur! »
    
    Il la regardait d’un air narquois. « Ça n’arrivera plus? J’espère bien! C’est bien le but de la manœuvre! »
    
    Elle le vit prendre un objet allongé, d’une dizaine de centimètres de long, de trois centimètres de diamètre, et qui comportait à son extrémité un renflement arrondi d’environ quatre centimètres et demi. Il l’enduisit d’une ...
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