Marlène (chapitre 5)
Datte: 13/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... Ce qu’elle découvrait devant elle était une véritable salle de torture, comme dans ses fantasmes le plus osés. Ses yeux parcouraient les murs et les étagères. Les instruments se comptaient par dizaines. De toutes les sortes. Elle s’attarda sur la série de plugs anaux, qui la terrorisaient toujours, puis elle repéra, mise bien en évidence, la poire vaginale qu’elle avait vu sur internet ce matin. La salle était aussi équipée de plusieurs caméras, elle en voyait au moins cinq. Au milieu, trônait une grande table en bois, équipée de mousquetons, de sangles et de chaînes. Un peu plus loin un treuil électrique pendait au plafond. Il y avait aussi un espèce de chaise gynécologique, munis de sangles partout, elle aussi. À côté d’elle, sur une petite table à roulettes, elle vit une console électrique munie d’une multitude de boutons et de cadrans, ainsi qu’une trentaine de fiches de raccordement à l’arrière. Sur le côté de la tablé pendaient un série de câbles, terminés par des pinces ou par des objets de formes diverses, qui de façon évidente, étaient destinés à être placés dans les orifices naturels.
« Eh bien, qu’en penses-tu? C’est un peu mieux que tes petits bricolages, non? »
Il lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur la table, lui fixa des bracelets aux poignets et aux chevilles puis la fit se remettre debout. Il l’attacha au mur, bras et jambes écartés, à l’aide de chaînes et de mousquetons. Elle tremblait comme une feuille, morte de peur. À ce moment, elle ...
... comprit la différence fondamentale entre les fantasmes et la réalité. Elle n’avait plus le contrôle sur rien.
Il commença par lui placer une pince sur chaque mamelon, qu’il serra à l’aide d’une vis. C’était douloureux mais pas plus que les pinces qu’elle avait utilisées ce matin. Il y suspendit alors des poids de 250 grammes. Elle poussa un gémissement étouffé. Il lui plaça ensuite quatre autre pinces, deux sur chacune des petites lèvres, qu’il lesta également. Celles-ci étaient des pinces crocodiles, semblables à celles qu’elle avait achetées ce matin. Elles lui pénétraient dans les chairs tendres, lui arrachant des cris de douleur. Quand tout fut en place, il se recula et contempla le spectacle. Puis il déclencha un grand chronomètre, placé sur le mur. « Quinze minutes. Ce sera ta première punition, pour la faute de position. » lui dit-il.
La douleur devenait un peu plus forte à chaque seconde qui passait. Elle criait et au début elle se débattait dans ses liens. Mais chaque soubresaut décuplait la douleur. Elle s’essaya donc de gesticuler le moins possible.
Mon dieu, que c’est long, 15 minutes! De sa position, elle ne pouvait pas lire le chronomètre et elle ne pouvait qu’attendre que cela se termine, sans aucune idée de la durée restante. Avec en plus de la douleur, la perspective d’une autre encore bien plus forte, à l’instant où on lui retirerait. Elle en avait fait l’expérience ce matin. Et la perspective d’une deuxième punition à suivre, peut-être plus terrible ...