1. Marlène (chapitre 2)


    Datte: 09/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... retouches. Celle-ci accepta le travail mais donna un délai de 10 à 12 jours. Moyennant un généreux pourboire, elle accepta d’en raccourcir une dans les 48 heures, à condition de la recevoir au plus tard cet après-midi. Accord conclu, Marlène serait là à 13 heures 30, à l’ouverture de la boutique.
    
    Les choses semblaient prendre une bonne tournure. Elle n’aurai même pas besoin de faire les magasins, ce qui lui laissait son après-midi libre. Il lui restait juste à choisir sa tenue pour ce soir, dans les vêtements qui lui restaient. 
    
    Après quelques hésitations, elle opta pour une jupe plissée, juste sous le genou et un chemisier blanc en nylon transparent, orné de dentelles. Des chaussures à talons, très aérées, complèteraient l’ensemble.
    
    Elle décida alors de refaire complètement son vernis à ongles, tant sur les pieds que sur les mains. 
    
    9 heures sonnaient sur la pendule. C’était l’heure du miroir. Elle continuerai après. 
    
    Elle prit son téléphone et régla le minuteur sur 11 minutes. Elle le posa sur la table et se mit en place. Débarrassée de la surveillance de l’heure, elle put se concentrer sur son image. Elle remarqua que ses mamelons étaient toujours rouges, suite au traitement d’hier, mais ils n’étaient plus vraiment douloureux. Juste une légère sensation de chaleur. Elle eut envie de recommencer à les maltraiter mais se retint. Pour les prochaines minutes, elle devait juste rester immobile et contempler le reflet que lui renvoyait le miroir. 
    Son regard ...
    ... descendit vers son sexe, ouvert et offert, que bientôt, elle s’en doutait, des inconnus allaient pouvoir regarder, toucher, fouiller, lécher.... pénétrer sûrement. Torturer, même, peut-être. Elle imagina ses petites lèvres meurtries par des pinces, étirées jusqu’à l’intolérable par des poids suspendus, boursoufflées par des dizaines de piqûres d’orties, transpercées par des décharges électriques.
    Son imagination l’emportait de nouveau vers un monde inconnu. Son excitation montait sans qu’elle puisse rien faire pour la contrôler. Elle dut faire des efforts surhumains pour garder les mains sur la tête jusqu’à la fin des dix minutes. 
    Quand la sonnerie du minuteur retentit, ses mamelons étaient dressés et durs comme la pierre, son clitoris était gonflé, émergeant entre ses lèvres et son sexe dégoulinait sur ses cuisses.
    
    Elle se précipita alors dans sa chambre, se jeta sur le lit, jambes écartées et se caressa de longues minutes avec brutalité, pinçant et tordant ses petites lèvres, les écartant jusqu’à la douleur, martyrisant son clitoris à coups d’ongles, comme si elle voulait se punir de ces envies.
    
    Soudain, elle se leva, ouvrit la garde-robe pour se saisir d’une lourde ceinture de cuir. Elle commença alors à se flageller l’intérieur des cuisses et le sexe, de plus en plus fort, de plus en plus vite, jusqu’à hurler de douleur.
    Après plusieurs minutes, elle s’écroula sur le lit, pantelante, immobile, haletante. Ses cuisses étaient zébrées par les coups et son sexe était ...
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