1. La dentiste (1)


    Datte: 20/06/2018, Catégories: Divers, Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory

    ... l’assistante était suspendue. Mi femme, mi araignée, elle m’observait de ses trois paires d’yeux. Elle se laissa glisser le long d’un fil. Pendant sa lente descente, ses quatre paires de jambes repliées dévoilaient autant d’entrecuisses luisants et suintants. Malgré la frayeur que m’inspirait cette créature, ma verge démontra une divergence d’opinion prononcée. La pertinence du conseil de la secrétaire – hélas tardif – de sortir la cartouche du fusil se révélait soudain. Mon esprit tordu entrevit un instant la possibilité de planter ma verge dans la dernière des vulves tout en léchant la première. Si avec deux partenaires ce genre d’exercice ne nécessitait que peu de prérequis (sinon de trouver deux partenaires), avec une seule, cela tenait de la chimère.
    
    — Ce jeune homme a besoin de se détendre. Cyd, veux-tu bien libérer le siège de toutes ses tensions ? N’ayez aucune crainte, jeune homme ; nous ne souhaitons que votre bien : soigner vos dents et vous libérer de vos craintes infondées.
    
    L’assistante se pencha vers moi. Elle aussi était équipée d’une paire de seins dont les bonnets ne l’auraient pas placée en tête d’une liste alphabétique. La Cyd déboutonna d’une main experte mon pantalon et dégagea mon sexe de sa prison de tissu.
    
    — Joli morceau, jeune homme...
    
    Les paroles de la dentiste se muèrent en bruits étranges de chairs mobiles. Elle m’aspira, sa bouche semblant épouser l’exacte forme de ma queue. J’étais aussi serré que dans le cul d’une fille m’offrant sa ...
    ... première sodomie. Ses gencives frottaient ma hampe comme si elle n’avait plus de dents. Je relevai la tête pour me rendre compte : sa bouche formait comme une trompe gainant ma queue.
    
    — Comment faites-vous ça ? demandai-je, tiraillé à la fois par la curiosité et un début de terreur. Vos dents...
    
    La dentiste abandonna ma queue. Ses lèvres reprirent leur place dans un étrange bruit, mélange de clapotis et de succion, laissant de la salive couler aux commissures.
    
    — N’est ce pas mieux sans les dents ? intervint l’assistante.
    
    Répondant en lieu et place de la praticienne dont l’élocution sans les dents devenait difficile, elle proposa de me donner quelques sommaires explications. En guise de préambule, elle pressa ses seins l’un contre l’autre et les approcha de ma bouche, m’invitant à lécher le liquide qui en perlait ; le fluide visqueux et jaunâtre suivait la courbe de ses seins lourds. Pour le moins sceptique, je me contentai d’en récupérer une goutte du bout du doigt que je passai sous mon nez. Il s’en dégageait une fraîche odeur de citron qui m’encouragea à y goûter. La saveur était plaisante, et le liquide ainsi présenté m’incita à poser mes lèvres à la source de ce curieux breuvage.
    
    L’effet fut rapide ; je me sentis plus à l’aise. Si je me détendis, ma verge, elle, ne mollit pas.
    
    — Ainsi, comme vous l’avez senti, jeune homme, pour votre confort ses dents ont disparu, ou plutôt se sont rétractées dans sa mâchoire. Mais si vous préférez la présence de dents, ...