1. La dentiste (1)


    Datte: 20/06/2018, Catégories: Divers, Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory

    ... balcon tant il y avait de monde. Un réflexe me fit reculer la tête afin de conserver l’intégrité de mes globes oculaires que ses tétons, toutes pointes érigées sous son tee-shirt, menaçaient.
    
    — Excusez-moi, je me suis assoupi...
    
    — Pas de souci. Si vous souhaitez aller aux toilettes avant d’entrer, la porte se trouve tout de suite sur la gauche.
    
    — Auriez-vous peur que je fasse dans mon froc en cas de douleur ? plaisantai-je pour me rassurer, craignant que la dentiste soit si peu douée.
    
    — Vous êtes drôle ! Non, mais il est parfois préférable de ne pas laisser de cartouches dans le fusil. Enfin, c’est vous qui voyez...
    
    — Oui ; y’en a qui ont essayé, et ils ont eu des problèmes, j’imagine...
    
    La dentiste ouvrit la porte de la salle de soins pour m’avertir qu’elle avait besoin de deux minutes supplémentaires, peut-être trois. Mais quelle dentiste ! Oui, mieux valait ne pas laisser de cartouches dans le fusil... Pas de blouse blanche pour officier. Je n’avais pas eu le temps de détailler sa tenue, mais à l’évidence, l’originalité était là aussi de mise.
    
    Deux minutes, ce n’était pas beaucoup ; mais si je ne voulais pas me retrouver dans une situation embarrassante, il me fallait extraire la cartouche au plus vite. Me précipitant dans les toilettes, j’eu le temps d’apercevoir un sourire sardonique accroché aux lèvres de la secrétaire. Aussitôt la porte refermée, je baissai mon pantalon et entrepris une course contre la montre. Je crachai dans ma main pour ...
    ... lubrifier quelque peu ma verge ; je devais tout de go mettre la gomme : deux minutes, ça passe vite.
    
    Ma queue n’avait pas été longue à réagir et était déjà bien déployée ; c’était toujours ça de gagné. Je commençai par de lents mouvements sur toute sa longueur, une sorte d’échauffement pour ne pas risquer de mauvaise surprise. Mais le temps m’étant compté, j’accélérai sans trop tarder. J’invoquai diverses images tirées de multiples navigations sur Internet et de lectures à une main pour accélérer l’affaire. Il y avait de tout : des seins de taille démesurée aux petites poitrines effrontées, des culs bronzés, de blanches traces de maillot de bain, des pubis glabres, des toisons entretenues comme un gazon anglais. J’étais à deux doigts de la jouissance lorsque j’entendis la dentiste ouvrir la porte pour accompagner son patient. Mince ! J’étais maintenant surexcité, et la cartouche toujours dans le fusil. Obnubilé par l’idée d’éjaculer, j’en perdis même de la raideur. Merde !
    
    Je remballai le paquet, angoissé à l’idée que le chapiteau pouvait se dresser à n’importe quel moment. Je sortis à l’instant même où la secrétaire passait devant la porte, laissant sous mon nez la vision d’un petit cul rebondi moulé dans une minijupe en cuir. La dentiste, revenant de l’entrée où elle avait expédié son client précédent, me cueillit au vol. J’entrai dans la salle de soins. Qu’on en finisse !
    
    Hormis la puissante lampe au-dessus du fauteuil, la pièce baignait dans une pénombre inhabituelle ...
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