1. Mon éveil de soumise (3)


    Datte: 19/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... l’endroit où je me tenais, mais ses pas furent un doux supplice ; en avançant, les liens se tendaient sous l’effet des poids et il me fallut un certain temps pour enfin atteindre son corps ; là, je dus m’agenouiller pour me plier à son désir.
    
    Je commençais par lui lécher longuement les testicules, je les avalais goulûment, mais lorsque je voulus mettre son sexe dans ma bouche, il me rappela :« Dans cet ordre t’ai-je dit, retourne contre le mur ».
    
    Je me relevais et reculais ; j’attendis jusqu’à ce qu’il m’intime l’ordre de venir le sucer.
    
    De nouveau, je m’avançais avec la lenteur que m’imposaient les étirements et, enfin, je pus avaler son membre ; c’était si bon ! Ma bouche allait et venait, je léchais son gland déjà humide des premières gouttes, j’entrais dans un dérèglement de tous mes sens.
    
    Après un long moment, il repoussa doucement mon visage, défit avec la même délicatesse que précédemment les pinces et là encore, massa longuement mes lèvres et mes tétons.
    
    — Mets-toi à quatre pattes sur le lit; allais-je être pénétrée, baisée, pilonnée ...
    ... comme j’en rêvais ?
    
    Je sentis son sexe se présenter à l’entrée de mon anus tandis qu’une nouvelle paire de pinces était placée sur une surface encore intacte de mes lèvres.
    
    Pierre mit le temps qui était nécessaire pour que mon cul s’ouvre sous la pression insistante de son sexe ; une fois pénétrée, je ressentis une chaleur envahir mon fondement et au fur et à mesure, je sentais également mon anus s’ouvrir et l’engloutir avidement.
    
    — Ton cul s’ouvre bien, attends ce qui va venir; en effet, sous l’effet de ce nouveau plaisir, je sentis son sexe glisser de mieux en mieux, mon cul mouillait ; c’était divin !
    
    A partir de ce moment, il m’encula sans retenue en tirant sur les pinces.
    
    Je gémissais, hurlais, haletais jusqu’à ce que les mots m’échappent « Monsieur, enculez-moi plus fort, étirez-moi, encore » et, dans un râle, je me mis à jouir longuement pendant que le sexe de Louis me labourait.
    
    Jamais je n’avais ressenti un tel orgasme ; je me remémorais sa phrase sur les plaisirs partagés ; j’en prenais la mesure, j’étais ivre de plaisir.
    
    A suivre 
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