1. Mon éveil de soumise (3)


    Datte: 19/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... j’attendais que la punition se poursuive.
    
    Je crois qu’il l’avait compris ; il me demanda de m’agenouiller sur le canapé, bras reposé sur le dossier, il se leva et très vite, je sentis des lanières m’effleurer les fesses ; le martinet !
    
    Là encore, le martinet s’abattit avec précision sur mon cul déjà rougi et je sentais ses lanières me fouetter avec une forme de plaisir ; cette punition dura elle aussi longtemps et lorsqu’elle cessa, j’étais en sueur. Pierre me caressa alors les fesses et me murmura que j’étais une bonne soumise même s’il me restait des progrès à faire. J’aimais ce mélange de punitions et de bienveillance. Toujours agenouillée, il me caressa en faisant aller et venir le plug fiché dans mon cul ; j’eus mon premier orgasme de la soirée puissant, violent ; il me laissa pantelante.
    
    — Tu dois avoir soif.
    
    « Tu trouveras dans la pièce à côté une bouteille de vin blanc, un verre et une écuelle. Apporte-moi un verre de vin et remplis d’eau cette écuelle que tu apporteras elle aussi.
    
    Je dus poser l’écuelle par terre et il m’ordonna de boire à 4 pattes le cul tourné vers lui, cuisses écartées ; je me donnais l’impression d’être un animal, une esclave, mais je me sentais consentante et fière ; je bus avidement en lapant l’eau ; une fois terminé, je dus aller la remplir de nouveau et toujours dans la même position, j’ingurgitais maladroitement son contenu. J’avais dû boire près d’un litre d’eau et je craignais déjà les effets sur ma vessie.
    
    « Nous allons ...
    ... continuer ton éducation petite soumise ; tu sais que le plaisir se mérite.» Je ne le savais que trop :« Je le sais Monsieur, je suis prête ».
    
    Il retira délicatement le plug de mon cul, me releva et le laisse entre ses mains, m’entraîna vers une autre pièce, la chambre. Y trônait un vaste lit haut, de ceux qu’on trouve dans les palaces.
    
    Une longue barre était fixée le long du mur semblable à celles qu’on peut trouver chez les tailleurs. Pendaient quatre liens avec d’un côté des pinces japonaises et de l’autre des poids ; chaque paire de liens était de longueur inégale.
    
    Il me plaça dos à ce mur, prit la paire la plus courte et fixa deux pinces sur mes tétons ; il fixa l’autre paire sur ma chatte.
    
    — Maintenant, tu vas me déshabiller; j’allais enfin découvrir son corps et son sexe.
    
    Déboutonner sa chemise se fit sans difficulté, mais lorsqu’il s’agit d’ouvrir son pantalon, le lui retirer comme ses mocassins, il fallut m’agenouiller en entraînant les poids qui m’étiraient les seins et la chatte. Douleur vive, mais à laquelle il m’avait déjà entraînée ; la morsure sur mes tétons était à la hauteur de mes attentes, celle d’une zone qui chez moi est très érogène.
    
    Je découvrais son sexe déjà dressé, d’une bonne taille sans être démesurée et j’attendais avec impatience de le sentir pénétrer dans mes orifices.
    
    Il s’assit sur le lit ; « je vais te récompenser, tu vas avoir le droit de me lécher et de me sucer, dans cet ordre ».
    
    Le lit se trouvait à quelques pas de ...