1. Mon éveil de soumise (3)


    Datte: 19/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    Mon éveil de soumise
    
    Chapitre 3 : Première séance
    
    Dans l’ascenseur qui me menait chez lui, je me remémorais les 3 règles qu’il avait énoncées lors de nos échanges ; ces règles s’appliquaient dès que j’aurais passé le pas de sa porte, m’avait-il indiqué :
    
    1-Nudité
    
    2-Obéissance
    
    3-Absence d’intimité
    
    Si les 2 premières règles m’étaient faciles à appréhender (je les avais bien intégrées), la 3eme m’intriguait ; elle m’intriguait et m’inquiétait aussi, car j’avais déjà bien mesuré le degré de perversité de Pierre et son « talent » pour m’humilier.
    
    Je chassais cette pensée pour revenir à cette soirée où j’allais être initiée ; j’avais peur et j’avais hâte.
    
    Je sonnais, la porte s’ouvrit ; Pierre était élégant et il me sourit en déposant un baiser léger sur mes lèvres. Il m’attrapa la nuque, sans violence, mais avec fermeté, se pencha vers mon oreille : « Tu es prête n’est-ce pas ? ».
    
    Dans un souffle, je m’entendis répondre « Oui Monsieur, je suis prête »
    
    Il me guida à travers une vaste pièce, un salon ; la lumière était douce et étudiée, Pierre ne laissait rien au hasard. En le traversant, je pus furtivement découvrir des œuvres d’art de différentes époques, mais qui formaient un ensemble harmonieux et, comme lui, élégant.
    
    Il me mena vers une pièce attenante ; «Tu te déshabilles en ne gardant que ta culotte » ; je n’avais pas oublié ses paroles à ce sujet et je tremblais de honte ! Mais j’étais là. Il me laissa après m’avoir demandé de le prévenir ...
    ... lorsque je serai nue ou presque.
    
    — Je suis prête, Monsieur.
    
    Pierre s’approcha et me mit un collier de cuir autour du cou à laquelle il crocheta une laisse.
    
    Etrange sentiment de sentir le cuir autour de mon cou, étrange, mais excitant aussi, il me mena devant un canapé dans lequel il s’assit et me regarda ; j’avais baissé les yeux et je sentais son regard me détailler ; une main vint prendre possession d’un sein puis de l’autre. Il me pinçait fermement les tétons jusqu’à ce qu’ils durcissent.
    
    Visiblement satisfait de ma réaction, il me demanda d’enlever ma culotte et de la lui présenter. Il me fallut lutter, vainement je le savais, contre ce qu’il me restait d’orgueil.
    
    Je décidais d’obéir, mais cette légère hésitation ne lui avait bien sûr pas échappé ; il me dit simplement « Tu n’hésiteras plus lorsque je te donne un ordre. Tu as bien entendu » ; je hochais la tête ; il avait gagné.
    
    Je baissais cette culotte de coton blanc que j’avais portée jour et nuit depuis mardi ; l’intérieur était humide et maculé et je la lui tendis. Il la regarda et me la mit sous le nez. « Tu ne pourras pas repartir avec une culotte aussi sale ! Tu devras la nettoyer ».
    
    Je ne pus rien dire d’autre que « Oui Monsieur ».
    
    Il avait disposé sur la table basse qui se trouvait devant le canapé un martinet, une badine, des pinces, des poids et un plug.
    
    Regard toujours baissé, je devinais qu’il prenait un de ces objets ; les pinces. Il en posa deux sur chacune des lèvres de mon sexe ...
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