1. Tout est dans la nuance


    Datte: 18/06/2018, Catégories: fh, ffh, frousses, cadeau, pénétratio, attache, yeuxbandés, fouetfesse, pastiche, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... Je me venge. Elle hulule.
    
    Je m’intéresse maintenant à son dos. De la nuque au bas des reins. Je la sais particulièrement sensible de ce côté pile. Je chatouille aussi le creux poplité. L’arrière du genou me tente. Elle a le souffle coupé lorsque je lui caresse la raie culière, et cette petite zone que j’adore, à la peau si douce, juste à la limite des cuisses et des fesses.
    
    De par sa position, je peux lui titiller le petit œillet. L’œil de Moscou comme dirait Vladimir.
    
    — Pas là, non, pas là ! grogne-t-elle, désespérée.
    
    Je la laisse respirer quelques secondes. J’en profite pour me déshabiller. Mon sceptre se sentait à l’étroit dans mon pantalon. Je me tiens devant elle. Je dois me retenir, j’ai envie de lui caresser le visage et de l’embrasser. Mon sexe tendu vient se frotter contre sa toison par inadvertance. Ou peut-être veut-il dire bonjour à sa meilleure amie ! Elle devine ce qui se caresse contre elle.
    
    — Non… pitié… gémit-elle de nouveau.
    
    Je ne me laisse pas attendrir par ses plaintes. Mon regard est alors attiré par ses framboises roses. Elles se dressent fières et arrogantes, elles sont aussi tendues que peut l’être mon dard. Cette situation l’électrise quelque peu semble-t-il. J’adore ses petites friandises. Je n’y tiens plus, je passe un petit coup de langue rapide sur le téton gauche. Il ne faudra pas oublier de rendre la pareille à son pote, pas de jaloux.
    
    Ma belle serait-elle excitée par mon traitement de choc ? Vérifions. D’une plume ...
    ... délicate, je caresse ses globes d’un blanc de nacre, en dessus, en dessous, autour du mamelon qui se tend de plus belle.
    
    — Non, ce n’est pas possible… murmure-t-elle entre ses dents.
    
    Il est temps de porter l’estocade. Je m’agenouille devant elle et toujours en me servant de mes plumes diaboliques, je lui inflige un véritable supplice chinois. D’abord l’aine, l’intérieur des cuisses, le périnée. Comme me dit souvent Jean-Michel, en amour il faut bien connaître sa géographie, savoir passer rapidement de l’Aisne au Bas-Rhin. J’ai pris la précaution de tendre au maximum ses liens, lui écartant le plus possible les jambes. Elle essaie d’échapper à mes sournoises caresses, en vain. Elle ne crie même plus, elle feule. À peine ai-je touché son joli coquillage qu’il s’ouvre, s’écarte, s’offre à moi.
    
    — Non, je vous en supplie ! insiste-t-elle.
    
    Je caresse l’intérieur de sa caverne d’Ali Baba. Je choisi tel ou tel point, selon l’inspiration. À chaque caresse je suis récompensé par une gesticulation, un cri, un soupir. Son ventre s’agite seul, elle est secouée de tremblements. Je change de plume rapidement, elles sont vites trempées. J’en utilise même deux à la fois. Les grandes lèvres bien ouvertes, les petites subissent le même supplice, sans aucun répit. Par de sournoises caresses je force son petit bourgeon à sortir la tête de sa cachette. Il n’en peut plus le bougre.
    
    Je lui fais subir le même sort qu’aux autres parties de son corps.
    
    — Arrêtez, me supplie-t-elle, c’est ...
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