Tout est dans la nuance
Datte: 18/06/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
frousses,
cadeau,
pénétratio,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
pastiche,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... lui faire peur. Elle crie sous les coups.
Quelques larmes coulent de sous le bandeau. La chochotte ! Je vérifie, ses fesses ne sont même pas rouges. Pour sa peine je redistribue deux ou trois coups, pour le plaisir. Je ne tiens pas à lui faire mal, mes intentions sont tout autres. Plus démoniaques. Les lèvres à quelques centimètres de sa peau, je souffle un peu d’air, sur le nombril, sous ses bras, sur le bas de son dos. À chaque fois elle sursaute, pousse de petits cris de souris effrayée. Je reviens jouer avec les ciseaux près d’elle. Je fais cliqueter les lames près de ses oreilles, je les pose sur son corps. Elle sursaute à chaque fois.
D’un geste décidé je coupe une des bretelles du sous-vêtement. Je fais durer le plaisir avant de couper l’autre. Je tire sur le vêtement qui tient encore sur son corps, uniquement retenu par sa belle poitrine.
— Non… gémit-elle.
Je m’intéresse maintenant à sa culotte. Prise d’un regain d’énergie, elle tente à nouveau de me donner des coups de pied et même de me mordre…
— Tu as choisi ton destin, tu as choisi la voie de la DOULEUR ! gronde Saroumane.
J’attache des sangles à ses chevilles, je les tends, lui écartant les jambes.
— Détachez-moi et je vais vous faire voir de quel bois je me chauffe !
— J’aime les femmes de caractère, asthmatise de nouveau Dark Vador.
Elle semble un peu perdue. Deux coups de ciseaux et le dernier rempart de sa vertu vient de tomber.
— Pas ça ! me hurle-t-elle dans les ...
... oreilles.
J’examine avec amour son mont de Vénus, juste habillé d’un petit triangle de duvet roux. Je souffle dessus pour en agiter la toison. Elle crie comme si je venais de lui brûler la peau au fer rouge. Je me retiens de rire.
— Passons aux choses sérieuses, sulfureuse beauté, lui murmure Gandalf.
Elle avale difficilement sa salive.
Je me suis préparé un bloc de glace dans une bouteille d’eau en plastique. Je prends cet engin, le serre entre mes mains durant quelques minutes. Je viens alors placer mes mains froides sur sa peau. Je choisis mes emplacements avec soin. Un sein, une fesse, le ventre, le bas du dos. Elle hurle à chaque fois que je la touche. Heureusement que la maison est isolée.
J’ai à ma disposition tout un lot de plumes, d’autruche, de paon, de chouette, ainsi que du duvet d’oie. Je la connais par cœur. La chose qu’elle craint le plus, après les araignées, ce sont les chatouilles.
— Maintenant, femme, tu vas supplier ton maître.
— Plutôt crever !
Avec une plume de paon choisie avec soin, je viens lui caresser les aisselles.
— NOOON, pas ça, au secours !
Insensible à ses supplications, je continue mon œuvre. Je passe sur le nombril, insérant dans cet orifice mon engin de supplice. Elle se tortille de plus belle pour échapper à ma torture, en vain. Je la laisse souffler quelques secondes, avant de recommencer. Je la caresse du poignet à la cheville. J’insiste sur les hanches. Chez nous elle m’engueule à chaque fois que je la frôle à cet endroit. ...