Janvier 2010
Datte: 18/06/2018,
Catégories:
fh,
couleurs,
vacances,
amour,
Masturbation
préservati,
pénétratio,
mélo,
amourdram,
Auteur: Macapi, Source: Revebebe
... Mon t-shirt rejoint le tas de vêtements par terre et me revoilà aussi nue qu’il y a cinq minutes. Il affiche un sourire satisfait. Je me colle lascivement contre lui, ma bouche parcourt son corps comme si c’était la première fois que je le goûtais. Il se laisse faire, seule son érection de plus en plus vigoureuse témoigne de son désir. Je me penche et ma bouche prend possession de ce bâton de chair au goût un peu salé de notre jouissance passée. Ma langue rose passe et repasse sur son membre noir et mes doigts s’enroulent tout autour. Je ne me lasse jamais du contraste noir-blanc, on dirait un piano dont il me faut jouer pour en sortir toute la musique.
Mes lèvres caressent la chair sensible de son sexe, mes joues se creusent pour l’accueillir, ma gorge s’ouvre pour lui laisser le passage. Avec ma main droite, je maintiens la base et contrôle ainsi à ma guise la profondeur. Je le regarde avec un air de salope en laissant filer ma salive sur mon menton, en faisant des bruits de succion qui augmentent encore son plaisir. Mon propre sexe coule et réclame des caresses. Il se redresse sur ses coudes et me demande avec un grand sourire de me caresser.
Je m’exécute avec un sourire. Ma main gauche se lance à l’assaut de mon intimité, mais, rendue maladroite par la position un peu instable, je suggère un judicieux changement de position. Je me couche sur le dos, libre à présent de me caresser de ma main droite. Mon compagnon s’installe confortablement à ma gauche et me regarde, ...
... allongé sur le côté, sa tête à mes pieds.
Mon index connaît bien le chemin de mon plaisir, mais je fais durer plus longtemps, en caressant longuement mes lèvres et l’entrée de ma grotte. Sans pudeur, j’ose m’écarter et me dévoiler entièrement à sa vue. Il me demande d’aller plus vite, de me faire jouir, pour lui. J’obéis sans retenue. Mon index retrouve sa position habituelle sur mon clitoris. Mon corps trouve son rythme, je ne me préoccupe plus de Réginald. Seul mon plaisir compte. Je respire profondément pour tenter de repousser le plaisir encore un peu, mais il est là, tout proche, je ne peux pas l’empêcher. Mon dos s’arc-boute sous l’assaut de cette lame de fond, mes gémissements se font cris rauques, mon sexe s’ouvre et se ferme comme pour chercher de l’air.
Sans que je l’aie vu venir, mon amant me pénètre soudain. Je reconnais heureusement la sensation du préservatif. Mon orgasme est décuplé par cette pénétration franche. Il se relève un peu, me donnant accès à mon clitoris et m’ordonne de me caresser encore. Plus de plaisir, encore, c’est un ordre facile à exécuter. Je torture mon bouton pendant qu’il s’enfonce régulièrement en moi. Je me sens partir au rythme de mes cris qui l’accompagnent. Je n’ai même plus la force de me masturber, chaque coup de boutoir qu’il me donne vient déclencher une vague plus grande que la précédente. J’en tremble de tout mon corps. Mes yeux se ferment, ma tête bascule en arrière, un voile de lumière blanche passe sous mes paupières, ...