Janvier 2010
Datte: 18/06/2018,
Catégories:
fh,
couleurs,
vacances,
amour,
Masturbation
préservati,
pénétratio,
mélo,
amourdram,
Auteur: Macapi, Source: Revebebe
... jusqu’à mes yeux qui se ferment de plaisir.
Il se retire doucement, se débarrasse du préservatif et vient se coucher à mes côtés. Rassasiés l’un de l’autre, mais pas pour longtemps, nous prenons une pause bien méritée, le temps de fermer les yeux et de savourer l’instant. Ne pas parler tout de suite, ne rien dire qui pourrait briser la magie du moment. Je sais que si je me regardais dans un miroir je verrais mon sourire béat de plaisir. Je verrais une femme qui aime, une femme qui a joui, accompagnée d’un homme si parfait. Mais pourquoi ne pas être venue plus tôt ? Comment ai-je pu manquer cela et attendre six mois ? Et surtout, comment pourrais-je vivre sans cela maintenant ? J’aimerais, comme dans la chanson :
Je regarde l’heure, il est déjà seize heures passé. Il me semble pourtant que je ne suis là que depuis quelques minutes à peine. Est-ce que Réginald dort ? Il faut que j’aille faire pipi. Un coup d’œil à ma droite, il ne bougera pas de sitôt, c’est certain. Je me lève et j’enfile rapidement mon jean et mon t-shirt. Une fois la porte ouverte, je me précipite à petits pas de souris vers le fond du couloir. Chaque porte me semble une menace : et si l’une d’elles s’ouvrait ? Enfin, je trouve un siège de toilette pas très accueillant, mais qui suffira pour mes besoins actuels. Pas de papier… Tant pis, je remets mon jean sans m’essuyer. Le retour vers la chambre se fait également en catimini. Arrivée devant le numéro 23, notre chambre, ma main sur la poignée se dérobe ...
... et la porte s’ouvre grand. Je pousse un cri de peur malgré moi, mais ce n’était que mon amant cette fois-ci totalement réveillé qui avait entrouvert la porte. J’entre et je referme la porte soigneusement.
— Toi, tu n’as pas été sage, je vais devoir te punir, tu le sais ! me menace-t-il à moitié sérieux.
— Tu m’as fait peur, c’est déjà une punition, non ? Et puis je n’ai rien fait de mal, réponds-je d’une voix de petite fille.
— Attend que je t’attrape, tu vas voir ce que tu vas voir.
— Non !
Et je tente de m’enfuir dans le coin opposé au sien. Le regard brillant et malicieux, il ne tarde pas à m’emprisonner dans l’étau de ses bras. Il me soulève et me jette sur le lit avant de s’écraser sur moi.
— Hey, tu es lourd !
— Tu ne t’en plaignais pas tout à l’heure…
— C’est pas pareil, tu ne faisais pas exprès pour être lourd.
— Donc tu aimerais mieux être sur moi, c’est ça ? demande-t-il sournoisement.
— C’est pas ce que j’ai dit…
— Mais c’est ça que j’ai compris !
Sur ce, il roule sur le lit en me relevant et je me retrouve sur lui, son sexe à nouveau érigé entre les cuisses. Mais je suis habillée…
— C’est ça que tu appelles pas sage ? Je me suis rhabillée et tu n’aimes pas ça ?
— Dit comme ça, ça fait beaucoup de sens…
Je me trémousse du mieux que je peux sur lui pour retirer mon pantalon. Évidemment, je m’arrange pour me frotter contre son sexe et l’exciter encore plus. Si nos jeux peuvent reprendre comme tout à l’heure, je ne suis pas contre du tout ! ...