1. Janvier 2010


    Datte: 18/06/2018, Catégories: fh, couleurs, vacances, amour, Masturbation préservati, pénétratio, mélo, amourdram, Auteur: Macapi, Source: Revebebe

    ... !
    
    Lentement, ses mains me déshabillent, ses yeux remplis de désir me dévorent, sa bouche s’applique à explorer chaque centimètre de peau exposée. Mes jambes faiblissent sous moi, je me laisse tomber sur le lit, les yeux à moitié fermés, la bouche offerte. Je gémis de plaisir, tout en le déshabillant à son tour. Ses muscles puissants roulent sous mes mains, je les pétris avidement au fil d’une chemise, d’un pantalon, d’un caleçon vite enlevés.
    
    Maintenant tous deux nus, il me sourit avant de m’embrasser sauvagement. Haletante, je me perds dans ce baiser qui me suffoque presque et me liquéfie à la fois. Mon corps est déjà prêt à le recevoir. Mais, patience, il faut prendre le temps de se retrouver, on a tout l’après-midi et toute la nuit pour s’aimer. Rien ne presse. Ses mains contrastent avec ma peau blanche encore dépourvue de tout bronzage. J’aime cette différence, j’aime son odeur si résolument homme, viril, fort. Et sa langue ! Avec laquelle il joue de mon être tout entier comme d’un instrument de musique complexe.
    
    Si sa bouche délaisse la mienne pour explorer ma poitrine offerte, un de ses doigts vient se placer entre mes lèvres et je m’empresse de le sucer comme si c’était son sexe. Que sa main se pose un instant sur ma poitrine pour la malaxer, et voilà son membre viril sur ma langue et sa tête entre mes jambes. De dessus à dessous, devant, derrière, c’est une danse sans fin, nos corps qui se mêlent, roulent ensemble, tentent de se séparer par jeu pour mieux ...
    ... se réunir.
    
    Et lorsque je n’en peux plus, qu’il a joué de toutes mes zones érogènes, que j’ai pu honorer dans toutes les positions l’amant formidable qu’il est, lorsque je le supplie enfin de venir me remplir pour en finir avec cette douce torture, lorsque lui-même ne peut plus résister aux coups de langue que je donne sur son frein ou à la profondeur de ma gorge accueillante, alors seulement il se couvre d’un préservatif rassurant et me pénètre lentement.
    
    D’abord, il vient sur moi en missionnaire, afin de mieux me regarder dans les yeux, de mieux prendre son temps, de me faire languir. Le plaisir monte avec lenteur, mes hanches demandent encore plus, mon bassin réclame une vitesse qui ne vient pas, ma tête tourne d’un côté ou de l’autre sans contrôle et mes cris envahissent la chambre et l’hôtel. Je sens que son plaisir vient aussi, il pulse en moi, profondément enfoncé, il ne bouge plus pour mieux se retenir. Frustrée, les sens exacerbés, je n’en peux plus. Mes mouvements désespérés vers lui sont inutiles, il me retient fermement par les hanches. J’ouvre les yeux, je pleure, je le regarde, je jouis ainsi, seule ma cavité intime s’ouvre et se ferme au rythme insensé de cet orgasme. Je le sens qui réagit à chaque contraction. Ses yeux se perdent, je crie mon plaisir, un cri animal qui me fait mal à la gorge. Il se raccroche à moi, termine enfin par quelques va-et-vient, jouit à son tour en de puissantes giclées. Une vague immense se propage en moi, de la pointe des pieds ...
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