1. Acte 2


    Datte: 17/06/2018, Catégories: ffh, freresoeur, soubrette, théatre, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... prenait-elle plaisir avec quelques chambrières attentives ?
    
    MARIE DE TOUCHEBOEUF – Quoi, avec des femmes ? Mais c’est impossible !
    
    FRANÇOISE DE TOUCHEBOEUF – Lorsque le mari est peu attentif au plaisir de son épouse, la chambrière peut être d’un grand secours. Il ne faut certes pas en abuser, mais la douceur des caresses d’une femme peut vous emporter vers des voyages que vous ne pouvez imaginer. Suzon par exemple a une grande expérience en la matière. N’est-ce pas ?
    
    SUZON – Oui Madame, pour votre plaisir puisque vous me le demandiez.
    
    FRANÇOISE DE TOUCHEBOEUF – Et en ferais-tu autant pour ma sœur ?
    
    SUZON – Certes Madame, si elle le désire.
    
    FRANÇOISE DE TOUCHEBOEUF – Allez George, sortez votre membre que ma sœur voit comment faire.
    
    George s’exécute et présente son sexe.
    
    FRANÇOISE DE TOUCHEBOEUF, (tout en joignant le geste à la parole) – Voyez comme je pratique ma sœur. Votre mari ne pensera pas à vous présenter son sexe comme le fait si complaisamment George. Ce sera donc à vous d’aller le chercher sous la chemise de nuit. Mais il ne convient pas de vous précipiter sur le membre, même lorsqu’il vous est offert, puisque l’attente fait augmenter le désir. Vous pouvez faire des travaux d’approche, mais finalement, c’est le vit que vous devrez caressez. Il faut bien repérer les points les plus sensibles et les plus agréables pour l’homme. Le plus réactif au plaisir, c’est le gland. Il y a également la couronne du gland, vous voyez cette ligne qui est comme ...
    ... un anneau entre la zone de peau et la partie plus rose. La tige du pénis et enfin les bourses. Voyez comme je les prends en main, délicatement, sans trop serrer. Sur la tige, un massage assez vigoureux mais sans violence. Tout est question de doigté ! Plus on est sur un point sensible, comme le gland ou les bourses, plus il faut faire preuve de douceur ! Il en est de même pour le rythme des caresses. Avec l’expérience ma chère sœur, vous constaterez qu’une caresse très lente peut parfois faire mourir de plaisir.
    
    MARIE DE TOUCHEBOEUF – Françoise, tout cela me trouble énormément.
    
    FRANÇOISE DE TOUCHEBOEUF – Le mieux, Marie, c’est que vous preniez le relais. Voyez comme ce sexe est tendu. Approchez votre main et prenez la tige. N’aillez crainte, je vais vous guider.
    
    MARIE DE TOUCHEBOEUF – Mais pourquoi est-il devenu si gros et qu’il est tout droit ?
    
    FRANÇOISE DE TOUCHEBOEUF – C’est que lorsque vous avez vu l’abbé avec votre mère supérieure, l’excitation n’était pas encore survenue. Pareillement, lorsque George a accepté de nous présenter son sexe, il n’avait pas commencé à s’ériger. Mais avec les caresses que je viens de lui prodiguer, ce brillant valet que voilà a vu son sexe grossir et se tendre : c’est le signe qui permet de voir si les caresses que vous prodiguez sont source de plaisir pour celui qui les reçoit.
    
    MARIE DE TOUCHEBOEUF, (commençant à masturber timidement le valet) – C’est ainsi que je dois faire avec la main ? La peau est douce à cet endroit et ce ...