1. Acte 2


    Datte: 17/06/2018, Catégories: ffh, freresoeur, soubrette, théatre, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... donné un toit, un emploi digne, alors qu’elle pourrait être à cette heure dans le ruisseau à la merci de bien des périls. Elle est bien méchante en vous remerciant de la sorte.
    
    MARIE DE TOUCHEBOEUF – Une correction me paraît indispensable, sinon jamais elle ne me respectera.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Certes, elle doit être corrigée. Mais nous ne pouvons la renvoyer aujourd’hui, elle nous est trop utile le jour de vos noces. Comment faire alors ?
    
    MARIE DE TOUCHEBOEUF – Qui parle de la renvoyer ? Non je pense que quelques coups de verges auront raison d’elle et qu’elle réfléchira avant d’ouvrir la bouche.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Des coups de verges ?
    
    MARIE DE TOUCHEBOEUF – Oui, sur les fesses de cette gourgandine !
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Oui, c’est cela quelques coups de verges sur ses fesses et elle ne vous tarabustera plus autant, j’en suis certain. C’est une excellente idée et je vous remercie de me l’avoir soufflée. Je vais m’y employer sur l’heure sans laisser personne d’autre que moi opérer cet office. Oui, oui, quelques coups de verges seront parfaits.
    
    MARIE DE TOUCHEBOEUF – Je souhaiterais que la punition se fasse sur le champ.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN, (à part) – Cela me donne des idées. Je ne pensais pas que ma sœur me permettrait et encore moins me procurerait quelques libertinages. M’occuper du cul de Suzon avec une verge, et non pas plusieurs.
    
    MARIE DE TOUCHEBOEUF – Tenez, voici les verges dont vous pouvez vous servir.
    
    MARQUIS DE ...
    ... SAINT-AUBIN – Soit, madame ma sœur, je vais m’y employer. Mais cela me gênerait que vous voyiez comment je corrige votre servante. Restez couchée dans votre lit. Voyez, je tire les rideaux. Ainsi vous entendrez Suzon geindre et crier, mais vous ne me verrez pas frapper.
    
    MARIE DE TOUCHEBOEUF – Si tel est votre souhait, je ne saurais m’y opposer.
    
    Le marquis fait courber Suzon, lui remonte les jupes jusqu’à ce qu’elle ait le cul nu.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN, (à Suzon) – Tu vas recevoir quelques violents coups de verges, non plutôt, d’une seule verge, mais pas sur les fesses, plutôt dans le cul.
    
    Il sort son sexe dressé et sodomise sans ménagement la soubrette qui se met immédiatement à crier de douleur. Il l’astique vigoureusement pendant deux minutes. Il se retire et éjacule sur les fesses de la jeune fille.
    
    SUZON, (à part, au marquis) – Monsieur le marquis, avec une telle punition, cela me tente de continuer à être impertinente avec madame.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN, (à part, à Suzon) – Ne t’y risque pas trop tout de même. D’ailleurs j’ai mis au courant le mari de ma sœur de la manière dont tu peux le servir et comment il peut te corriger à coups de verges. (Suffisamment fort pour que sa sœur entende) Voilà, te voici bien corrigée ? Seras-tu plus respectueuse de ta maîtresse ?
    
    SUZON – J’y consens monsieur le marquis.
    
    MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Voilà qui est bien.
    
    MARIE DE TOUCHEBOEUF – Merci mon frère d’avoir bien corrigé cette petite impertinente.
    
    MARQUIS DE ...
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